•  

    "Adoration", absurdité de la "trinité" et égarement des "chrétiens".

     

     

    C'est une chose terrible que de voir les "chrétiens" ne pas savoir interpréter "proskuneo" (adorer, se prosterner) !

     

    Car UN SEUL doit être "adoré en esprit et en vérité", et c'est LE PERE:

    - Jean 4:23 "Mais l’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité; car ce sont là les adorateurs que le Père demande.
    24 Dieu-Elohim est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité."

    Yeshoua, Lui, est un HOMME (1 Tim 2:5) et ne peut être "adoré en esprit et en vérité" (IL est de plus le "premier-né d'un grand nombre de frères":
    Romains 8:29; Colossiens 1:15 et 18; Héb 1:6; Apoc 1:5) !

     

     Pour le reste, des "élus" eux-mêmes verront certains "se prosterner" (proskuneo) devant eux... et pourtant, ils ne sont pas "Dieu" non plus, pas plus que Yeshoua quand il est écrit "Que tous les anges de "Dieu" l'adorent-se prosternent (proskuneo) !" (Héb 1:6) et on le voit ici:

     

    - Apoc 3:9 "Voici, Je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent; voici, je les ferai venir, se prosterner (PROSKUNEO) à tes pieds, et connaître que Je t’ai aimé."

    ... ainsi, des "créatures" vaincues viendront "adorer-se prosterner" (proskuneo) devant d'autres créatures "élues" !

     

     Quel dommage de ne pas comprendre "Qui" est Yeshoua... et donc "qui" nous devons être !

     

    "Adoration", absurdité de la "trinité" et égarement des "chrétiens".

              Voici ce qui fait bien rire les païens et ils ont raison, car...

    ... Si "Dieu" est mort (!) au calvaire, quelle absurdité que de vouloir suivre l'exemple de "Christ" ("Dieu le Fils" !!?) qui a obéi au Père ("Dieu le Père") car il  n'y a aucune difficulté pour "Dieu" que de s'obéir à Lui-même !

    En revanche, le "Christ" (le vrai, Yeshoua) a démontré par Son obéissance, libre et consentie, qu'il était possible pour nous en tant que créatures de "Dieu" (comme Yeshoua l'était puisque "fils de l'homme"), d'obéir à "Dieu" dans ce monde et ainsi de vaincre le péché !

    Cela consiste simplement à "marcher comme Il a marché Lui-même" (1 Jean 2:6) en "crucifiant (mettre au poteau d'exécution) la chair avec ses passions et ses désirs". (Galates 5:24)

    A bon entendeur... le salut ! (Mais quel "salut" veulent donc les "chrétiens" ?)

     



    Article connexe (voir la fin) : Parachah Nitsvaiym

    ... c'est à dire ceci:


    Adorer, rendre un culte, honorer, se prosterner ?
     


    Le verset 17 du chapitre 30 nous invite à approfondir un détail de traduction intéressant les verbes « se prosterner et rendre un culte » :

    « Mais si ton cœur se détourne, si tu n'obéis pas et si tu es poussé à te prosterner devant d'autres dieux et à leur rendre un culte » (De. 30:17)

    Ce verset est en relation avec

    « Tu ne te prosterneras pas devant elles, et tu ne leur rendras pas de culte » (Exode 20:5)

    Se prosterner et rendre un culte sont deux actes différents, sinon une seule expression serait utilisée.

    Dans les deux versets le verbe se prosterner est donné par l’hébreu :hishthahavéh (verbe pronominal hé-shin-thav-héth-vav-hé השתחוה )
    Quant au verbe rendre un culte ou servir, il est donné par l’hébreu : avad (ayin-beth daleth עבד ) 

    Sans plus d’explication, nous pourrions admettre que se prosterner n’intéresse que le « divin » (ou plutôt "ce qui concerne Elohim"), d’autant que les textes précédents ne citent que cette possibilité. Or lors d’une rencontre entre Moshéh et son beau-père Yithro il est dit :

    « Moshéh sortit au-devant de son beau-père, se prosterna et l'embrassa. » (Exode 18:7)

    C’est ici le même verbe hébreu qui est utilisé pour « se prosterner ». Ce verbe n’est donc pas réservé uniquement à la prosternation face à un "dieu", car dans le cas de Yithro nous avons affaire à un homme et nous ne pouvons pas prêter à Moshéh l’intention de se prosterner devant son beau-père comme on se prosternerait devant Élohim Lui-même. Se prosterner prend alors
    une signification qui ne présume pas l’adoration, mais qui s’apparente d’avantage à la déférence, à la reconnaissance de la supériorité, à la salutation très respectueuse face à une autorité reconnue, et digne de reconnaissance. Cela peut prendre aussi le sens de faire allégeance, en se soumettant à plus grand que soi ou à quelqu’un que l’on aime.

    Volontairement ou involontairement, le verbe se prosterner a été traduit dans les livres de la nouvelle alliance par « adorer » ce qui génère une confusion avec la notion de « rendre un culte » ou « servir au culte ». Le verbe anglais « to do obeisance » semble plus approprié, car il suggère plus la soumission, l’allégeance, que l’adoration de culte en soi.

    Ainsi nous retrouvons les mêmes termes dans la bouche de notre Seigneur Yéshoua, lorsqu’Il fut tenté par l’adversaire dans le désert. Notre Seigneur parlait l’hébreu, le grec placé dans la bouche de notre Seigneur n’est qu’une traduction.

    « Si donc tu te prosternes devant moi, elle sera tout à toi. Yéshoua lui dit : Il a été écrit : le Seigneur (plus certainement YHWH), ton Élohim, Tu adoreras (il faut donc lire : te prosterneras) et (en plus), à Lui seul, tu rendras un culte. (un service sacré) » (Luc 4:7-8) ! 

    Ces termes sont sans ambiguïté, car ils reprennent les paroles de Moshéh.  

    Quelle est l’importance ? Elle se situe dans le fait que nous pouvons, et devons, nous prosterner devant la majesté d’Élohim le Père et aussi devant la majesté du Seigneur Yéshoua et lui donner allégeance, car IL est notre Chef, mais à Élohim le Père SEUL, nous avons à rendre un culte.

    Yéshoua est notre Grand Sacrificateur et rend Lui-même le service sacré auprès du Père pour nous, en disant : demandez (au Père) en Mon Nom et moi Je le ferai. Jamais Yéshoua ne nous a demandé de lui rendre personnellement un culte, et de créer ainsi une confusion entre le Père et le Fils, car il y a unité mais pas de confusion puisque le Fils qui est à la droite du Père est
    soumis au Père.

    Nous comprenons mieux que la traduction rendue par « adorer » au lieu de
    « se prosterner » produit une confusion.

    Par exemple : en Jean 9 :38, lorsque l’aveugle guéri « l’adora »… en Hébreux 1 :6 quand les anges « l’adorèrent », et autres passages où le terme grec [proskunéo], qui est relatif à « se prosterner », est malencontreusement traduit par « adorer », alors qu’il était préférable de traduire par « se prosterner, s’incliner ».

    Pourquoi ? Parce que tous ceux-là, les mages, les femmes, les anges, reconnurent Sa majesté, aimèrent et se soumirent au Messie Yéshoua, sans pour autant lui vouer un culte. 

    Chers amis, réfléchissons un instant à « la trinité orthodoxe de Nicée, Laodicée, Calcédoine… » du 4e siècle, où le culte est rendu indifféremment aux trois « expressions de la « divinité » ! Nous sommes reconnaissants que les frères nazoréens – Juifs et non Juifs, vrais disciples de Yéshoua - n’aient pas participé à l’élaboration de ce dogme, qui ne fut que le produit du
    paganisme dit "chrétien".





    JYH et David Yvinec
    23/12/2012
    (Copie autorisée et même souhaitable, à condition d'en redonner le texte intégral et les sources)

     

    "Adoration", absurdité de la "trinité" et égarement des "chrétiens".

     

     

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  • Par François G sur son Blog: http://yhwh-jesus-leshommes.eklablog.com/le-dieu-des-chretiens-devient-un-deus-otiosus-a61940351

     

    Le dieu des chrétiens devient un « deus otiosus », ...... lorsqu'il ne l'est pas déjà.

     

                                 Le dieu des chrétiens devient un « deus otiosus »....

     

    Selon Wikipedia, un deus otiosus (du latin "dieu neutre") est un dieu créateur qui n'agit plus ensuite sur le destin de ce qu'il a créé. Ces divinités sont présentes dans de nombreuses traditions (Brahma, An, la divinité baltique Dievas, divinités africaines,...)

     

     

    Le terme "otiosius" fut inventé par les historiens des religions pour décrire un dieu créateur passif, oisif et qui n'intervient plus dans l'histoire des hommes. Ce type de « dieux » est fréquent dans de nombreuses mythologies, et il tend logiquement, au vu de son inactivité, à être oublié dans d'autres.

     

    Un phénomène donc universel : le dieu créateur devient d'abord secondaire, puis il est mis à distance pour finir par être oublié.

     

    Cette tension vers l'oubli est aussi caractéristique du christianisme depuis ses débuts, depuis que des «docteurs» d'origine grecque païenne ont énoncé une doctrine. Il s'agit bien entendu du dogme de la «trinité».

    Il faut affirmer haut et fort que ce dogme est une aberration. Aucun juif, du temps des origines de la foi en Yeshoua, n'aurait pu formuler cela, considérant le Fils comme Messie et comme créé, dernier Adam, ainé de plusieurs frères et soeurs qui forment la communauté de ses disciples.

     

    Le but de cet article n'est pas de répondre point par point aux torsions des Ecritures nécessaires pour la faire cadrer avec une doctrine trinitaire, mais de montrer par l'histoire que YHWH, le dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob fut progressivement abaissé au profit de la fausse représentation du Fils, instillée culturellement.

    « Jésus » est devenu un dieu qui a pris le pas sur Elohim.

     

    Oter tout ce qui était « juif » dans la foi « chrétienne » fut l'effort, des siècles durant, de l'église qui s'instituait progressivement. Prenons deux exemples :

     

    - Le dogme de la trinité : il mettait sur un pied d'égalité le Père, le Fils et le saint-esprit.

     

    a. Brièvement sur le saint-esprit car ce n'est pas le sujet : comment imaginer que « l'esprit » de qui que ce soit puisse se différencier de la personne qui possède cet esprit? Le Ruah Hakkodesh est l'esprit de YHWH. Point. Les grecs qui sont renommés pour leur rationalisme ont séparé l'esprit de la personne. Comme tour de passe-passe irrationaliste, on ne fait pas mieux.

     

    b. Le Fils est devenu l'égal du Père en contradiction avec les Ecritures. Citons :

     

    Paul parle de Yeshoua :

    "Dieu (Elohim), en effet, a tout mis sous ses pieds. Mais lorsqu’il dit que tout lui a été soumis, il est évident que celui qui lui a soumis toutes choses est excepté. Et lorsque toutes choses lui auront été soumises, alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous." (I Cor 15 : 27-28)

    Cela paraissait évident pour Paul mais dans les faits modernes, cela ne l'est plus du tout.

     

    L'auteur de l'épitre aux Hébreux :
    (Traduction "déiste" et romaine. Voir en fin d'article les commentaires 4 et 5)

    "Car auquel des anges Dieu a-t-il jamais dit: Tu es mon Fils, Je t’ai engendré aujourd’hui? Et encore: Je serai pour lui un père, et il sera pour moi un fils?

    Et lorsqu’il introduit de nouveau dans le monde le premier-né, il dit: Que tous les anges de Dieu l’adorent!

    De plus, il dit des anges: Celui qui fait de ses anges des vents, Et de ses serviteurs une flamme de feu.

    Mais il a dit au Fils: Ton trône, ô Dieu, est éternel; Le sceptre de ton règne est un sceptre d’équité;

    Tu as aimé la justice, et tu as haï l’iniquité; C’est pourquoi, ô Dieu, ton Dieu t’a oint D’une huile de joie au-dessus de tes égaux." (Hébreux 1 : 5-9)

     

    Sans entrer sur le fait que le Fils est nommé « dieu » (pas de majuscule en grec !), sujet d'une autre étude qui devrait être développée, il est clair que le Fils est engendré et qu'il a un statut supérieur à tout être créé parce que le Père l'a voulu ainsi. Il n'en demeure pas moins que le Fils est une création du Père au même titre que toutes les autres créations.

     

    Entrer dans des polémiques à ce sujet serait inutile : toutes les Ecritures marquent pour le Fils le statut le plus élevé qui soit sans que jamais, que ce soit dans le temps qu'il a vécu sur terre ou dans l'éternité, jamais il ne soit mentionné qu'il soit YHWH. Jamais il ne se fait lui-même l'égal de son Père, au contraire il Lui est soumis en toutes choses.

     

     

    2. Fêtes chrétiennes et fêtes de l'Eternel (YHWH)

     

    Sans pratiquement aucune exception, les fêtes chrétiennes ne sont pas dédiées au Père mais aux autres soi-disant personnes de trinité.

    Toutes les fêtes de l'Eternel furent éliminées. On eut de la difficulté avec la Pâque et la Pentecôte. Mais pour éliminer le problème, on en changea le système de datation et donc les moments de ces fêtes.

     

    Pour rappel, l'action de « changer les temps et la loi » (Daniel 7:25), ne provient pas du Ruah Hakodesk.

     

    Les fêtes chrétiennes élèvent le Fils et accessoirement l'esprit (pentecôte). Pire, dans certains courants, elles élèvent Marie et les saints, de même que les morts. Le Père est oublié, il est absent, neutre (otiosus).

    Même la « fête-dieu », malgré son nom, commémore, chez les catholiques une cérémonie essentiellement d'origine païenne : le saint sacrement, répétition des anciens sacrifices où l'on s'imagine répéter le sacrifice de Yeshoua.

    Et il existe une fête de la « trinité »....

     

    Rien pour le Père, le YHWH de la torah, celui que Yeshoua et les apôtres servaient et honoraient.

     

    Faut-il citer ces fêtes chrétiennes de A à Z ? Non.

     

    Noël nous donne un aperçu de la paganisation de la bonne nouvelle. Fête commerciale où l'on offre des cadeaux. Dérive d'une fête inexistante dont on a guère de moyen de vérifier l'exactitude de la date, reprise d'une fête romaine : le jour, pour les romains (ils se trompaient de 4 jours pour le solstice d'hiver), où le soleil recommençait à briller davantage, le jour s'accroissant dans leur durée.

     

    Et ces cadeaux ! Perversité enseignée à nos enfants... YHWH, rabaissé au rang de « père noël » , un pourvoyeur de cadeaux auquel on pourrait demander n'importe quoi, et le Fils à un paquet que l'on ouvre pour en découvrir la teneur.

     

     

    Mais cela n'est pas grave, dira-t-on ! On peut compenser par un bon enseignement. NON : pas tant que cet enseignement sera compromis par la pensée naturelle, païenne.

     

    C'est oublier que nous sommes tous façonnés par ce qui nous entoure et par ce qui est véhiculé d'abord par nos parents. Les observateurs des sciences humaines modernes s'accordent tous sur ce point, sans exception.

    Dire que cela n'a pas d'impact est une rêverie gentille et naïve.

     

    Quand comprendra-t-on que le christianisme tel qu'il est aujourd'hui est porteur d'un sens dévoyé de la vérité transmise par les Ecritures à un tel point qu'on ne peut les lire qu'au travers de ce filtre culturel et pécheur ?

     

    Cela ne sert à rien de relever la paganisation du catholicisme ou de l'orthodoxie. La pensée réformée et évangélique, avec moins de formes extérieures, est très grossièrement encore emprunte de ce paganisme. On parle bien ici de la pensée.

    Il est très difficile de faire comprendre cela. Seul le Ruah Hakkodesh le peut.

     

    Débarrassé de cette boue culturelle, l'eau sur laquelle est assise la « grande prostitué », les Ecritures peuvent réellement s'ouvrir : pas avant !

     

     

    On en est où ?

     

    Non seulement le Père est absent, non seulement le Fils a pris la place du Père dans l'âme du plus grand nombre, mais, puisque le Fils « n'est pas resté à sa place » dans l'économie de la Création, il est devenu une idole. Ce n'est plus le Yeshoua des évangiles et des apôtres.

     

    En ce sens la dérive idolâtrique a enfanté un monstre qui est bien décrit dans cet article : http://www.blogdei.com/3693/l-idole-qui-vient-d-amerique-par-david-kirkwood/

     

    Sans aller dans l'excès du « jésus américain », l'idolâtrie est imprégnée profondément chez beaucoup et personnellement, je reconnais qu'il est très difficile de se dépêtrer de ce tissu de fausses représentations concernant l'ordre de la création.

     

    Où j'en suis ?

    A constater que ce faux « jésus » est, dans nos pensées et dans nos coeurs, la base sur laquelle un faux messie pourra se faire passer pour le vrai. Et il sera difficile d'y échapper parce que, sans préparation, nous pourrions bien rester confus, percevant avec difficulté le "vrai et le faux", voire nous tromper sans espoir de retour en arrière. 

     

    Sans conteste, YHWH est le dieu "otiosus" des chrétiens. 

    Il donne de l'urticaire à plus d'un. DANGER !

    _______________________

     

    Notes personnelles:

    1- Suis pas affilié à une religion unitariste, témoin de jéhovah ou autres, pas même arien. Juste un chercheur qui a tenté de s'approcher de ce à quoi un juif disciple de Yeshua du temps de sa vie pouvait avoir comme représentation de l'objet de sa foi.

    2- Un grand déclic pour moi (pas le seul) s'est fait paradoxalement lors d'une fête de noël pour les enfants dans une église évangélique. A la fin, on distribuait des bonbons aux enfants, on en jetait dans l'assemblée et le conducteur de ce moment disait en gros: "Vous recevez des bonbons, recevez jésus puisqu'il est le cadeau de dieu". Mon échine fut parcourue de frissons, puis de colère, puis d'une réflexion -> "Eh oui, c'est bien là le rang minable auquel on a ramené le Fils".





    JYH
    D'après François G
    13/12/2012
    (Copie autorisée et même souhaitable, à condition d'en redonner le texte intégral et les sources)


     

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