• Origine de la doctrine trinitaire

     

    L'Histoire nous apprend qu'au début, l'église catholique cherchait à gagner le coeur des païens qui étaient très nombreux dans les pays gouvernés par Rome. Au début de son existence la religion catholique est apparue avec toute l'autorité de la Rome païenne qui voulait prendre le contrôle des gens sans qu'il y ait de violence par une fausse religion "chrétienne"*. Par l'autorité Papale, l'église et les richesses se sont accrues.

    * Note JYH: Je signale d'entrée la difficulté d'interprétation des mots "chrétien", "chrétienté" et "christianisme" en rappelant ceci: http://jyhamon.eklablog.com/jeroboam-inventeur-du-christianisme-moderne-a83323798 

    Gardez en mémoire que ceux que l'église catholique n'arrivait pas à convaincre ont été tués. Cette nouvelle église Romaine a alors fait des plans pour planifier une tactique, pour attirer la vaste majorité des païens à elle en "christianisant" beaucoup de croyances et de traditions païennes. En fait, Rome a "paganisé les chrétiens" qui étaient là depuis le début. Ces nouvelles observances et croyances, les rituels, ont été ajoutés au dogme de l'église. Tout ceci a été transmis dans le monde entier. Les fêtes chrétiennes que nous avons aujourd'hui, les symboles,  l'invocation des saints, la Trinité, la mère et l'enfant qui est Sémiramis avec son enfant, etc, ont pour origine Babylone qui du temps de Rome était le Mithraïsme avec sa trinité païenne. 

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    Elle se disait non seulement être une église chrétienne mais la seule vrai église chrétienne dans le monde, toutes les autres étant fausses. C'est au Concile de Nicée en l'an 325 que la puissance de Rome assoiffée de pouvoir et de contrôle sur le monde a influencé des centaines d'évêques et plusieurs milliers d'églises lors de leur retour dans ces églises, et influencés par Constantin, ils amenèrent les nouvelles doctrines dont celle de la Trinité. Le monde alors plongea dans les ténèbres pendant 1250 ans (plus que ça !), c'était (c'est toujours !) l'âge des ténèbres, la vérité avait pratiquement disparu. 

    Cela ne vous fait-il pas penser à tout ce que "satan" a essayé de détruire depuis le commencement ? Il a fait tomber Adam et Eve, il a envoyé ses anges pour corrompre la race humaine pour ne pas que "Dieu"  (Elohim) puisse se manifester en chair, dans une chair non corrompue. 

    La Papauté voulant ajouter les croyances païennes dans ses rangs a dû payer un prix. Chaque nation païenne avait sa propre Trinité de dieux. Mais le vrai "christianisme" lui n'avait pas trois Dieux. Ces hommes dont le coeur était rempli de méchanceté, ont commencé dans le Père, le Fils et le Saint Esprit avec une apparence de trois Dieux. Par les philosophes gnostiques et Platon a été immergée la croyance païenne d'une trinité de personnes très similaire au paganisme. 

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    Plusieurs évêques parmi lesquels étaient des descendants de la Mystique Babylone ont persuadé l'Empereur Constantin, qui lui-même était du Mithraisme, au concile de Nicée, d'adopter cette croyance. 

    Quels sont les théologiens qui ont été les premiers à employer le mot “trinité” dans leur œuvre de ‘construction’ doctrinale ? L’Encyclopédie Catholique répond: “Jusqu’à présent on n’a trouvé dans l’Écriture aucun terme particulier qui englobe les trois Personnes divines. Le mot trias (dont trinitas est la traduction latine) se rencontre pour la première fois chez Théophile d’Antioche vers 180 ap. J.-C. (...) Peu après, il apparaît sous sa forme latine, trinitas, dans les œuvres de Tertullien.” Cependant, la triade de Théophile se composait de ‘'Dieu", de Sa Parole et de Sa sagesse. Elle n’avait donc qu’un lointain rapport avec celle de la "chrétienté" ! Quant à Tertullien, la même encyclopédie explique que “son enseignement trinitaire est incohérent”, entre autres choses parce que d’après lui “il fut un temps où le Fils n’existait pas”. Par conséquent, le moins que l’on puisse dire, c’est que contrairement à la "chrétienté" contemporaine ces deux hommes ne voyaient pas en "Dieu" un Père, un Fils et un Saint Esprit coéternels. 

    Pourtant, le mot “trinité” est resté. Par la suite, les théologiens ont "construit" pierre à pierre la doctrine qu’elle désigne actuellement. Mais l’ont-ils bâti sur le fondement de la Bible ou sur celui de la théologie philosophique ? L’Encyclopédie britannique penche pour la seconde hypothèse. Voici ce qu’on y lit: “La théologie chrétienne a choisi la métaphysique [ou philosophie] néo-platonicienne de la substance et des hypostases [essences ou natures] comme point de départ pour interpréter le rapport qui existe entre le ‘Père et le Fils’.” Le problème majeur des théologiens était de présenter “Dieu le Père”, “Dieu le Fils” et “Dieu le Saint-Esprit” non comme trois Dieux, mais comme un seul. Pendant des années, ils se sont disputé pour savoir si les personnes de la Trinité étaient de substance semblable (en grec homoïousia) ou de même substance (homoousia). Cette controverse a été tranchée (par un "vote" !) en faveur de l’homoousia au concile de Nicée, en 325, puis à celui de Constantinople en 381. 

    L’Encyclopédie britannique poursuit ainsi: “Dès le début, les deux parties en présence [à Nicée] ont pris pour cheval de bataille le concept néo-platonicien de la substance, qui était étranger au Nouveau Testament. Il n’est donc pas étonnant que le reste de leurs débats, toujours fondé sur la métaphysique de la substance, ait mené à l’élaboration de concepts qui ne s’appuyaient nullement sur le Nouveau Testament.” Par conséquent, l’idée même d’un "Dieu" en trois personnes consubstantielles est un pur produit de la théologie philosophique. Elle n’a pas sa source dans les Écritures. 

    Le Dictionnaire de théologie catholique, un ouvrage de référence en 15 volumes, avoue: “Il semble incontestable que la révélation du mystère de la Trinité n’a pas été faite aux Juifs.”  Le Dictionnaire Illustré de la Bible renchérit par ces mots: “Il importe de se souvenir que l’A[ncien] T[estament] a été écrit avant que la doctrine de la Trinité ait été clairement révélée.” Pourtant, peut-on vraiment penser qu’avant l’avènement du christianisme les vrais adorateurs étaient dans l’ignorance au point de n’adorer qu’un tiers du vrai "Dieu" ? Sans doute conviendrez-vous que cela paraît absurde. Ils savaient très bien à qui ils rendaient un culte. (Psaume 95:6, 7). 

    Malgré tout, il est des trinitaires qui essaient d’asseoir leur conception de la divinité sur les Écritures hébraïques (l’“Ancien Testament”, ou plutôt le "Tanakh"). Par exemple, d’aucuns rappellent que le mot hébreu rendu par “Dieu” apparaît souvent au pluriel (’Èlohim). Mais ils semblent oublier que ce terme est utilisé de la même manière lorsqu’il se rapporte à des divinités païennes comme Dagon (1Samuel 5:7) ou Mardouk (Daniel 1:2), qui n’étaient cependant pas des triades. À ce sujet R. Girdlestone, professeur à l’université d’Oxford, précise ce qui suit dans son livre Synonyms of the Old Testament: “Nombre de critiques dont l’orthodoxie [trinitaire] est au-dessus de tout soupçon estiment toutefois qu’il est plus judicieux de s’en tenir à la position que des théologiens tels que Cajetan dans l’Église de Rome et Calvin chez les protestants ont jugé bon d’adopter, en considérant cette forme comme un pluriel de majesté.” Ces théologiens trinitaires ont certainement compris, en effet, que s’ils voyaient dans le vocable ’'Èlohim" un pluriel numérique (à traduire par “dieux”), ils se feraient du même coup polythéistes ! 

    Note JYH: "Elohim" ne peut pas être un pluriel numérique ou mathématique puisqu'il n'est pas "défini", la meilleure preuve se trouvant en 1 Cor 15:27,28 avec le "tout en tous".
      
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    Cette doctrine a alors été adoptée par cette religion de Rome comme étant la déclaration officielle de l'Eglise Catholique. A partir de ce moment-là tous les chrétiens étaient sous la peine de mort, de persécution et d'être détestés si ils n'acceptaient pas de croire dans cette nouvelle doctrine de la Trinité. 

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    Exemple: Dans les villes de Vilario et Bobbio, Sarah Rastignole, 60 ans, fut commandée par les soldats de prier un saint quelconque. Lorsqu'elle refusa, ils plongèrent une faucille dans son ventre et l'ouvrirent en deux, puis coupèrent la tête. Constantin Bellione fut questionné par un prêtre qui lui demandait de renoncer au Diable et d'assister à la messe. Il lui répondit: J'ai grandi dans une religion qui ma toujours enseigné à renoncer au Diable mais si je me plie à votre demande d'assister à la messe, je suis sûr de le rencontrer là sous différentes formes. Après avoir dit au Prêtre qu'il allait souffrir atrocement en enfer pour ce qu'il faisait, celui-ci donna l'ordre que sa peau fut arrachée de certaines parties de son corps puis finalement le fit fusiller. Un autre chrétien de Bobbio injurié par un prêtre, répondit que le Pape était l'Antichrist que la messe était de l'idolâtrie, le purgatoire une farce et l'absolution un mensonge. Après l'avoir fait horriblement brutaliser et souffrir, le prêtre le fit tuer sans aucune hésitation. 

    Jusqu'à aujourd'hui les trinitaires continuent de traiter ceux qui croient en un "Dieu-Elohim unique" de secte et de menteurs. L'histoire démontre que les satanistes, les gnostiques et les descendants de la Babylone mystique  avaient tous un dieu triple dans leurs croyances. Ceci est même devenu une pierre d'achoppement pour l'église catholique et les autres églises. Par l'intermédiaire de l'église catholique et de son influence sur les protestants, plusieurs ne se sont pas éloigné bien loin de Rome et sont retournés vers Rome en recherchent l'unité et la camaraderie. Est-ce que c'est ce que la Parole de "Dieu-Elohim" nous enseigne ? 

    - 2 Corinthiens 6:14 "Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a–t–il entre la justice et l’iniquité ? ou qu’y a–t–il de commun entre la lumière et les ténèbres ?" 

    Ce cri vers l'unité n'est rien d'autre que Babylone comme prophétisé criant vers ses enfants ( les protestants ) de revenir à la maison. Le "nouvel âge" n'est rien de nouveau mais plutôt la renaissance de l'ancienne religion pour envoyer le monde en "enfer" (ou plutôt "étang de feu"). Cette ancienne religion rebelle et diabolique existe depuis le paradis terrestre. Elle est devenue un Empire par la Mystérieuse Babylone et par les enseignements sataniques de Nimrod et Siméramis il y a 4,000 ans. Plus nous avançons dans le temps, plus cette babylone prendra de la force pour préparer cette religion mondiale à recevoir l'Antichrist. 

    Les symboles:

    Partout dans l'histoire, que ce soit les Babyloniens et les autres nations païennes, tous avaient des symboles pour identifier leur croyance a un dieu triple. Voici ce les l'archéologie nous dévoile. 

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    Ici nous voyons Trimurti, la trinité hindoue 

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    Ici les traces de Babylone partout dans le monde.

    Examinez les écritures par vous mêmes, questionnez vos dirigeants et que rien dans leurs réponses ne viennent contredire la Parole de "Dieu" (Elohim).

     

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    L'idée Babylonienne de l'unité divine était tellement idolâtre, que le "Dieu vivant" (YHWH) blâmait sévèrement son peuple de la partager à quelque degré que ce fût : "Ceux qui se sanctifient et se purifient dans les jardins, Au milieu desquels ils vont un à un, Qui mangent de la chair de porc, Des choses abominables et des souris, Tous ceux–là périront, dit l’Eternel." (Esaïe 66:17).
    Dans l'unité de ce "Dieu" unique des Babyloniens il y avait trois personnes, et pour symboliser cette doctrine de la Trinité, ils employaient, comme le prouvent les découvertes de Layard, le triangle équilatéral, absolument comme l'Église Romaine le fait de nos jours . Dans les deux cas une telle comparaison est injurieuse pour le Roi Éternel, et ne sert qu'à pervertir les esprits de ceux qui se la permettent comme s'il y avait ou s'il ne pouvait y avoir aucune ressemblance entre une pareille figure et celui qui a dit : "à qui comparerez-vous "Dieu" (Elohim), et à quoi le ferez-vous ressembler ?" 

    La papauté a dans quelques-unes de ses églises, comme par exemple dans le monastère des Trinitaires de Madrid, une image du "Dieu en trois personnes", avec trois têtes sur un seul corps . Les Babyloniens avaient quelque chose de similaire. Dans son dernier livre, M. Layard donne un spécimen de cette triple divinité qu'adoraient les anciens Assyriens 
     
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    La gravure en haut d'une autre divinité qu'adoraient les païens de la Sibérie, est empruntée à une médaille du Cabinet impérial de St-Pétersbourg et donnée dans le "Japhet" de Parson. Les trois têtes sont arrangées autrement dans le spécimen de Layard, mais toutes les deux sont évidemment destinées à symboliser la même grande vérité, bien que toutes ces représentations de la Trinité avilissent les idées de ceux parmi lesquels on trouve ces images, au sujet de ce mystère sublime de notre foi.
    Dans l'Inde, la divinité suprême est aussi représentée de la même manière dans l'un des temples les plus anciens de ce pays; elle a trois têtes sur un seul corps et porte le nom de "Eko Deva Trimurti", "un Dieu à trois formes" . Au Japon, les Bouddhistes adorent leur grand dieu Bouddha avec trois têtes, sous la même forme et sous le nom de "San Pao Fuh ". Toutes ces images existaient depuis l'Antiquité. Tout en étant empreinte d'idolâtrie, la notion d'une Trinité était universelle chez toutes les nations anciennes du monde : cela montre combien était profondément enracinée dans l'humanité la doctrine originelle qui vient si manifestement de la Genèse. 

    La triple invocation du nom sacré alors que Jacob bénit les enfants de Joseph est à remarquer car elle est extrêmement frappante:  Il bénit Joseph, et dit: Que le Dieu-Elohim en présence duquel ont marché mes pères, Abraham et Isaac, que le Dieu-Elohim qui m’a conduit depuis que j’existe jusqu’à ce jour, 16  que l’ange (messager) qui m’a délivré de tout mal, bénisse ces enfants ! (Genèse 48:15). Si l'ange mentionné ici n'eût pas été de Dieu-Elohim, Jacob ne l'aurait pas invoqué comme étant de Dieu-Elohim. Dans Osée 12, 3-5, "Et dans sa vigueur, il lutta avec Dieu-Elohim. Il lutta avec l’ange, et il fut vainqueur, Il pleura, et lui adressa des supplications. Jacob l’avait trouvé à Béthel, Et c’est là que Dieu-Elohim nous a parlé. L’Eternel (YHWH) est le Dieu-Elohim des armées; Son nom est l’Eternel (YHWH)

    Mais il est évident que le sens hiéroglyphique de ce cercle est bien différent. En Chaldéen un cercle se dit "Zéro"; et Zéro signifie aussi "la semence". Aussi, d'après le génie du système mystique des Chaldéens, qui était dans une large mesure fondé sur des mots à double sens, ce qui pour le vulgaire était simplement un Zéro, "une circonférence", était pour les initiés: "Zéro, la semence". Maintenant si on considère de ce point de vue l'emblème triple de la Divinité suprême des Assyriens, on voit clairement quelle avait été à l'origine la foi patriarcale. 

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    Tout d'abord, il y a la tête du vieillard, puis il y a le Zéro, ou le cercle, c'est-à-dire la semence; enfin, les ailes et la queue d'une colombe , tout cela montre, d'une manière blasphématoire, l'unité du Père, de la semence ou du Fils, et du Saint-Esprit. Telle était la manière dont l'idolâtrie païenne avait tout d'abord représenté le "Dieu en trois personnes", cette représentation avait duré même après Sennachérib; mais il n'en est pas moins certain qu'à une époque plus reculée, les notions Babyloniennes de la Divinité s'étaient profondément modifiées; et les trois personnes étaient devenues le Père Éternel, l'Esprit de "Dieu" incarné dans une mère humaine et le divin Fils, fruit de cette incarnation. 


    Notre propre langue nous fournit la preuve que zéro était un cercle chez les Chaldéens. Qu'est-ce en effet que zéro, le nom d'un chiffre, sinon un cercle ? Et d'où avons-nous cette expression sinon des Arabes, comme eux-mêmes l'avaient prise aux Chaldéens, le premier peuple au sein duquel ait fleuri l'arithmétique, la géométrie et aussi l'idolâtrie ?
     
    Zéro, dans ce sens vient évidemment du Chaldéen zer, "entourer", qui, à son tour, a donné naissance au nom Babylonien appliqué à une grande période de temps, "saros", (BUNSEN, tome I, p. 711-712). Celui que les Chaldéens regardaient comme le Grand Germe étant tenu pour le soleil incarné, et l'emblème du soleil étant une circonférence (BUNSEN, tome I, p. 335, n°4), la relation hiéroglyphique entre zéro, la circonférence, et zéro la semence s'établit aisément.
    Note JYH: On notera aussi le "Ourobouros" cher aux franc-maçons, au "nouvel âge", à l'ésotérisme égyptien et même chinois, nordique et védique, et plus généralement au satanisme, et je le rajoute ici:
     

    Origine de la doctrine trinitaire



    Nous avons vu d'où est venue cette doctrine de la Trinité chez les chrétiens mais qu'en est-il des Juifs qui ont renié le Dieu-Elohim unique pour accepter eux aussi la Trinité ? 
    Note JYH: Attention, ceci est extrêmement important compte tenu de ce qui se passe actuellement dans un FAUX rassemblement de "Juda et Israël" (Jérémie 31:31 et Héb 8:8) car celui-ci est remplacé par un "oeucuménisme trinitaire" entre "chrétiens babyloniens" et "juifs babyloniens" ! La séduction est partout !

    Voici. 

    C'est à partir de la Kabbale également appelée Quabbalah, que vient l'utilisation du pluriel trinitaire de "echad" le mot hébreu pour "un", qui pour  les mystiques signifie "l'unité" plutôt que comme une unité absolue. Ceci est une hérésie. Par exemple, les Trinitaires de la mystique juive, dont de nombreux rabbins juifs messianiques, diront que le mot hébreu "Elohim" est un pluriel de l'unité de trois personnes distinctes dans la Trinité, à savoir: le Père, le Fils et le Saint-Esprit .
    Ces philosophes néo-platoniciens, ont corrompu l'esprit de la Parole de Dieu-Elohim qu'il y'a un seul Dieu-Elohim, en disant que les mots hébreux "Elohim" et "echad" signifient « unité ». Eh bien, si ceux-ci croient vraiment dans cette doctrine hérétique  alors pourquoi ils rechignent et hésitent à traduire "Dieu" comme "dieux" au pluriel plutôt que dans le singulier "Dieu" ?
    Pourquoi alors n'ont-ils pas de même traduit "echad" par "trois" et non pas plutôt comme «Un» ?
    Évidemment, de telles distorsions ruineraient l'ensemble du texte de la Bible de la première à la dernière page et ces hommes présumément de grande estime ne sont pas prêts à faire des changements fans le texte sacré. Le concept d'une unité dans une trinité, voire plus, les dieux, a ses racines dans les traditions juive antique de la Kabbale, connue à l'époque de Jésus-Yeshoua le Messie, comme "LA tradition des anciens".
     
    Jésus-Yeshoua a t-il validé ces traditions comme étant la vérité ou leur a t-il dit avoir en leur sein les révélations sacrées de Dieu-Elohim ? Et s'il ne la pas fait, que dire de ces chercheurs et des enseignants prétendus de la Bible qui s'inspirent des trinitaires comme Platon ou de ces traditions néfastes ? 

    Si nous devions traduire "Dieu" comme "dieux", car ils disent qu'il est pluriel et signifie plus d'une personne qui sont toutes également "Dieu", et si nous traduisons "echad" par "trois" au lieu de "Un" comme ils enseignent dans cette doctrine, il ferait du Deut 6:4 une hérésie ! 

    "Écoute, Israël ! l'Éternel (YHWH), notre Dieu-Elohim, est le seul Éternel-YHWH."
     
    ... car ce passage deviendrait:
    "Écoute, Israël: la Chambre des Lords, nos Dieux, sont trois seigneurs !"
     
    Et de même: "les Dieux créa les cieux et la terre" !... et "Tu n'auras pas d'autres dieux devant nous" !
    N'est-ce pas pourtant le premier commandement en vue d'interdire la pratique du pluriel ou pluraliste du culte de Dieu-Elohim ?!
     
    Note JYH: Après, on s'étonnera que même les "évangéliques" prient tantôt "Jésus", tantôt "Dieu", tantôt le "sintespri"... !

    La Kabbalistique juive a été la loge secrète de la doctrine de la Trinité depuis l'époque de la captivité babylonienne. Même avant l'expulsion de la Terre Sainte, les Juifs adoraient une trinité sous la forme de "Baal, Astarté, et Tammuz". Ainsi, la Trinité n'est pas nouvelle pour eux, il n'est également pas nouveau que les Juifs croient en une trinité de dieux.
    Elie avait confronté les Trinitaires sur le mont Carmel. Puis après cette rencontre, les prophètes ont chacun de leur côté dans les générations suivantes, et dans leurs ministères, résisté à la doctrine de la Trinité des païens et toute adoption de celui-ci à appliquer à Dieu-Elohim
    En réalité si pour le "christianisme" la doctrine de la trinité a vu le jour, la Trinité n'a pas commencé à Nicée,. La manière d'expliquer cette trinité et la relation des trois dieux: le Père, le Fils et le Saint-Esprit  a été empruntée au paganisme de l'époque.

    Comment  la trinité est-elle venu de Babylone en Egypte, puis à Nicée en 325 AD ? 

    Nous allons maintenant voir d'ou vient la généalogie de la doctrine de ce culte qui a fait tant de millions de croyants durant la captivité car elle  est venue grâce à la "mystique juive" connue sous le nom de Kabballah. Beaucoup  ignorent cette connexion et à cause de cela ils ont été aveuglés et restent perdus en croyant sans le salut dans les cultes des Trinitaires. 

    Généalogie de la trinité du judaïsme apostat: 

    Les Juifs se sont installés à Alexandrie du temps de Jérémie. Ils détenaient de hautes fonctions dans les affaires civiques, mais surtout en tant qu'éducateurs. Selon David M. Scholer, il y avait plus d'un million de Juifs d'Alexandrie à l'époque de Platon. Platon Judaeaus, est peut-être le plus célèbre gnostique juif et mystique de l'ère "chrétienne", et est un contemporain du Mashiah ("Christ") et des Apôtres. Sa fille Bernice, était la femme d'Hérode Agrippa, qui a jugé l'Apôtre Paul. Platon est reconnu comme le premier qui «ouvertement»  a appliqué les croyances babyloniennes et les méthodes grecques de la mystique, dans une interprétation allégorique par écrit. 

    Il consisérait les philosophes grecs comme étant sur le même niveau que les prophètes. Il croyait que leur logique et leurs raisonnements, ainsi que l'hypostase étaient d'origine divine. Plus tard les romains et les grecs orthodoxes catholiques ont fait de même. Beaucoup de Juifs, qui croyaient en Platon, hellénisés, ont par la suite adopté le concept de la trinité de Platon et l'ont appliqué à leur "Dieu". 

    Ce gnosticisme est connu comme étant la Kabbale, la force spirituelle et métaphysique, force Babylonienne, et le Talmud de Jérusalem. Peu de gens savent que derrière la mystique juive se cache la croyance secrète d'une triade de dieux dans une unité trinitaire. Ces puissances d'Elohim sont représentées comme des émanations dans les dix Sephiroth, ou "arbre de vie", dans la Kabbale. Ce mysticisme invalide le sens littéral et l'interprétation des Écritures. 

    Origine de la doctrine trinitaire



    Parmi les apostoliques nous appelons cela «spiritualiser». En fait, le "christianisme spiritualiste" est en réalité le "mysticisme", utilisant une réinterprétation afin d'invalider le sens littéral et l'interprétation de l'Écriture. La doctrine de la Trinité a donné naissance à la mystique, et non pas à la révélation.
    S'inspirant du «spiritualisme et de la mystique» est venue la théorie de la "trinité cachée en Dieu", qui doit être comprise par une révélation spéciale à travers la philosophie ! 

    De Platon [20 BC-50 AD], à Athanase [293 AD-373 AD], environ 275 ans, la fermentation platonicienne grecque concernant "Dieu" avait atteint son apogée intellectuelle en Égypte. Le "judaïsme" (rabbinique) avait été entièrement moulé au platonisme. Il était maintenant le temps pour "l'Église chrétienne" d'être moulée è son tour.  
    Serait-il rejeter le paganisme grec, ou la philosophie comme l'Apôtre Paul l'appelle (Colossiens 2:08) ? Certes, nous pourrions nous demander, alors que depuis ce temps le platonisme était bien connu de Paul et des apôtres, si c'était la vérité, pourquoi l'ont-il rejetée et a-t-il fallu attendre 275 années pour qu'elle soit acceptée à Nicée ? Avez-vous, ainsi que "Dieu" Lui-même, raté quelque chose ? A quelle place les Apôtres n'ont-ils pas été conduits par l'Esprit, alors que ceux qui étaient à Nicée oui ? 

    Athanase a été nommé, à l'âge de 32 ans, évêque d'Alexandrie, et ce principal opposant d'Arius était le champion du platonisme qui était entièrement imprégné dans les églises romaines et grecques . Il avait reçu une éducation libérale. Assez tôt, il a été instruit dans les Écritures, mais dans la version des Septante du "Nouveau Testament" (appellation "d'hommes" !). Il ne connaissait pas l'hébreu. Ces études, combinées avec l'apprentissage du grec, a influencé sa pensée future. Dans l'esprit et les perspectives il pensait en grec. Il n'avait rien de l'Egyptien de souche. 

    Athanase était un philosophe grec pré-Nicéen des églises romaines. Il n'est pas venu à la connaissance de la théorie de Platon sur la divinité accidentellement. Il l'a apprise à l'université où il a étudié en l'appliquant brillamment dans les Ecritures comme aucun avant lui. Son génie et sa puissance dans la diplomatie était un actif parmi les vieilles pensée des Nicéens, qui étaient les plus ignorants, et qui ne croyaient pas que dans la viande il y avait du gras. Comment un homme de 32 ans, inconnu archidiacre, est-il venu à avoir une telle force politique à huis clos, pour faire tomber 316 des 318 vieux évêques aux cheveux gris dans son interprétation grecque d'une "nouvelle Monarchie monothéiste" ? 

    Serait-ce que la philosophie grecque était déjà en train de  tromper les évêques qui connaissaient les écrits de Clément, Irénée,Tertullien, et autres ? Il faut dire que les croyances monothéistes des premiers apôtres et des "chrétiens", étaient fermes sur le fait qu'il y avait un seul Dieu-Elohim dans la "Divinité" (terme impropre qui vient de "Deus"). Ceci est confirmé par les Écritures suivantes, et le fait que le mot "trinité" n'est pas dans la Bible: 

    - Mal 2:10 
     "N'avons-nous pas tous un seul père? N'est-ce pas un seul Dieu-Elohim qui nous a créés ?" 

    - Marc 12:32 
    "Le scribe lui dit: Bien, maître; tu as dit avec vérité que Dieu-Elohim est unique, et qu'il n'y en a point d'autre que lui." 

    - Romains 3:30 
    "puisqu'il y a un seul Dieu-Elohim, qui justifiera par la foi les circoncis, et par la foi les incirconcis." 

    - Eph 4:6 
    "un seul Dieu-Elohim et Père de tous, qui est au-dessus de tous, et parmi tous, et en tous." 

    - Jacques 2:19 
    "Tu crois qu'il y a un seul Dieu-Elohim, tu fais bien; les démons le croient aussi, et ils tremblent." 


    La doctrine de la Trinité n'est-elle donc pas le fruit de la semance Nico-Latine qui a grandi dans le sol gnostique grec et qui a essayé d'infiltrer l'église de Pergame? 

    - Apoc 2:13 "Écris à l'ange de l'Église de Pergame: Voici ce que dit celui qui a l'épée aiguë, à deux tranchants: Je sais où tu demeures, je sais que là est le trône de Satan. Tu retiens mon nom, et tu n'as pas renié ma foi, même aux jours d'Antipas, mon témoin fidèle, qui a été mis à mort chez vous, là où Satan a sa demeure." 

    N'est-ce pas alors la doctrine de la Trinité, le fruit de la semence Nicéo-latine, qui a grandi dans le sol fertile de la gnose grecque, et qui a tenté de s'infiltrer dans l'Eglise de Pergame ? N'est-ce pas l'acceptation de la doctrine de la Trinité qui est une preuve que l'orthodoxie grecque est une forme de gnosticisme chrétien hellénisé, et non pas la vraie Église apostolique ? Si la doctrine de la Trinité avait été vraie, alors pourquoi a-t-il fallu 295 années avant qu'elle devienne la doctrine officielle établie par l'église en 325 à Nicée? 

    J'invite les "chrétiens" (ou plutôt les vrais "disciples de Yeshoua") à ne pas minimiser l'ingfluence du grec-gnostique et juif Athanase à Nicée, et le fait qu'il a appris la doctrine de la Trinité des deux sources du Judaïsme hellénisé (la Kabbale), et la philosophie de Platon. Les trinitaires ne font généralement pas de recherches pour essayer de découvrir d'ou vient la Trinité. Au lieu de faire confiance à ce qui leur a été enseigné, ils apprendraient que cette doctrine est partie de babylone pour ensuite apparaître à Jérusalem, en Grèce, à Alexandrie puis à Nicée. 

     
    Présentation PDF: https://dl.dropboxusercontent.com/u/38717170/jyhamon.eklablog.com-Trinit__30__Blog_de_Jean_Yves_Hamon.pdf



    JYH
    19/04/2013

    D'après http://antitrinitaire.les-forums.com/topic/27/origine-de-la-doctrine-trinitaire/, corrigé, retraduit et enrichi; source initiale non connue.

    (Copie autorisée et même souhaitable, à condition d'en redonner le texte intégral et les sources)

     

     

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