• Lecture du shabbat: Parachah "Balaq"

     

     Avertissement: Cette parachah sera la dernière avant la "mise en PAUSE du Blog".


    Parachah "Balaq"



    Pensée :

    « Qui te bénit est béni, et qui te maudit est maudit ! » No 24 :9

    Que les Balaq, Amaleq, Haman, Midian modernes et autres, réfléchissent à cette conclusion du prophète « corrompu » qu’était Bilam ! Il n’a pu que valider la sentence de l’Élohim d’Israël ! La Parole d’Élohim est vivante, bien que ses détracteurs s’en moquent, elle s’accomplit toujours. Toute l’Histoire est là pour nous le rappeler, car les faits sont têtus et sont aussi des témoins …




    Parachah "Balaq"

     


    PARACHAH : « BALAQ » 



    Shabbat 8 Juillet 2017
    (Commentaire de 2012)

     

    Lectures:
    Parachah : Bémidbar/Nombres 22 :2 à 25 :9
    Haftarah : Miykhah/Michée 5 :6 à 6 :8
    Bérith Hadachah : Yohanan/Jean 3:14-21
                               Ivriym/Hébreux 9:11-15
                               Yéhoudah/Jude (entier)

     

    Rappel : les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yéshoua.

     

    Résumé de la Parachah:
    Sorti de sa pérégrination dans le désert, Israël est vainqueur de plusieurs rois ; le Kananéen roi d’Arad, Siyhon roi des amoréens et Og roi de Bashan. Israël campe dans la plaine vis-à-vis de Jéricho à l’Est du Jourdain et s’apprête à rentrer en Kanaan. Balaq le roi de Moav, effrayé par la puissance d’Israël, recherche auprès de Bilam (Balaam) un support spirituel occulte, en capacité de maudire Israël afin de le vaincre.
    Après plusieurs tergiversations Bilam se trouve contraint, au grand dam de Balaq, de bénir Israël. Son repli de la scène purement spirituelle n’empêche pas Bilam de conseiller Balaq de pervertir Israël de l’intérieur. Les fils d’Israël sont entraînés à l’idolâtrie par les filles de Moav. Une plaie éclate au sein du peuple. Piynéhas, fils d’El’azar intervient, la plaie cesse. 



    Méfiance de Bilam, le prophète corrompu



    «
    Viens lui fait dire Balaq, maudis-moi ce peuple »… « car je sais que celui que tu bénis  est béni, et celui que tu maudis est maudit » voir ch 22 :6.

    En résonance à la parole donnée à Avraham en Genèse 12 :3…

    “et Je bénirai ceux qui te béniront, et Je maudirai ceux qui te maudiront ; et en toi seront bénies toutes les familles de la terre. »

    Nous avons l’impression que Balaq, obsédé par sa peur, élève Bilam à la stature d’un "dieu", en capacité de bénir ou de maudire sous sa seule autorité. Pouvoir réel ou surfait que Bilam entretenait peut-être en termes de
    « publicité » pour augmenter sa notoriété. 

    Bilam, censé connaître de nombreuses caractéristiques du domaine spirituel, ne pouvait pas tout à fait ignorer qu’il ne pouvait pas impunément bénir ou maudire sans prendre quelque précaution… Il savait que ce petit jeu malsain pouvait lui retomber sur la tête. Dans ce sens il apparaît être un homme
    « sage » au regard de nos contemporains bien mal avisés à vouloir, comme des brutes ou certainement comme des inconscients, maudire tout ce qui s’appelle "Israël" et plus encore, tout ce qui s’associe en somme à la descendance
    d’Avraham, Yitshaq, Yaaqov-Israël, génétique ou spirituelle.

    Bilam était néanmoins cupide, et son attrait pour le gain le poussait à la négociation de surenchère… Le prix de sa collaboration fut augmenté par Balaq, au corps défendant de Bilam qui feignait de refuser l’offre car il rétorquait ne pouvoir désobéir à Élohim. Élohim qu’il désigne comme « son Elohim » … Par deux fois Bilam dira « je vais consulter Elohim pour connaître sa réponse… »

    Bien que le Seigneur lui ait dit une première fois « tu n’iras pas », Bilam insiste. Alors Élohim répond « tu iras, parce que ces hommes sont venus te chercher, (bien que ce ne soit pas Moi qui te laisse partir et Je te le ferai savoir), mais tu feras ce que Je te dis »… Néanmoins la colère d’Élohim s’enflamma contre Bilam car il était parti.

    “Et Elohim vint la nuit à Bilam, et lui dit, si ces hommes sont venus pour t’appeler, lève–toi, va avec eux ; seulement, la parole que je te dirai, tu la feras. Et Bilam se leva le matin, et sella son ânesse, et s’en alla avec les seigneurs de Moav. Mais la colère de Elohim s’embrasa parce qu’il s’en allait ….” (No 22:20-22 )

    Puis arrivé à l’endroit de rencontre, ce fut à deux reprises que Bilam consultait YHWH par ses techniques divinatoires (Note JYH: "techniques" tellement fréquentes dans certaines "entreprises" qualifiées improprement de "ministères"). La troisième fois, il n’insistait plus pour trouver une possible « faille » qui ferait que le peuple puisse être maudit. Il admit que YHWH couvrait absolument Israël et qu’il ne pouvait sans risque pour lui-même poursuivre ce funeste projet.

    Ceci nous apprend que Elohim peut même obliger de puissants ennemis spirituels - le domaine où se livrent les vraies batailles - à cesser toutes attaques, sinon à leurs dépens et cela Bilam le savait.

     


    Tout ce qui est écrit l'est pour notre instruction. Réfléchissons !



    Dans l’exercice de « notre pèlerinage sur terre » et des décisions que nous avons à prendre ou des actions que nous avons à mener, comment nous comportons-nous ? Dans des circonstances délicates, peut-être demandons-nous au Seigneur ce que nous devons faire… Nous le consultons, nous prions… Tout en ayant notre propre solution à la question, une solution qui favorise notre intérêt, notre sens. Toutefois cette solution, que nous espérons, peut s’opposer à ce que le Seigneur attend de notre fidélité… Mais nous aimerions
    bien que cette idée soit agréée du Seigneur… Alors nous faisons tout ce qu’il faut pour qu’il en soit ainsi, quitte à nous abuser nous-mêmes. Cela ne va pas devant le Seigneur, il nous le fera savoir si nous insistons tel un Bilam ! Ne soyons pas que clair, mais soyons transparent, soyons entier… que pourrions-nous cacher au Seigneur ! Pouvons-nous seulement abuser le Seigneur comme un homme en nous auto justifiant de nos mauvais projets ...

    “Je ne puis rien faire, moi, de moi–même ; je juge selon ce que j’entends, et mon jugement est juste ; car je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé.” (Jn 5:30 DRB)

    Suite à nos demandes, nous recevons parfois une réponse inattendue mais tellement nette, toutefois nous l’éludons en disant : « non ce n’est pas ainsi que je ressens les choses, cela ne vient pas de Elohim… » et aussi « Ce petit évènement dérangeant que je viens de constater ne peut pas être un signe de Elohim » de la même façon que Bilam aveuglé, n’essaie pas de comprendre pourquoi son ânesse interrompait son voyage. Et nous insistons, nous forçons notre destin, nous nous inventons le scénario qui favorise notre penchant. Donc, le Seigneur nous laisse à notre penchant, mais sa désapprobation
    s’affiche… jusqu’à parfois nous stopper net sur notre chemin !
    En d’autres occasions le Seigneur nous ouvre une « porte » de façon incroyable, tellement incroyable que nous trouvons toutes sortes de raisons pour ne pas la franchir, en dressant la liste des inconvénients. Bref, Nous rechignons. Alors le Seigneur nous emmène sur des « chemins de détour », des chemins de réflexion et de pédagogie. N’est-ce pas ce qu’IL fit au retour des 12 explorateurs ? Ce qu’IL fit pour tout le peuple, IL le fait aussi pour chacun de nous, car IL nous aime.

    Disons-nous alors: Seigneur, pardon, j’ai insisté contre ta volonté pour faire ma volonté, pour réaliser ce qui était pour moi un attrait. J’ai été deux fois coupable, en faisant ce qui m’attirait et aussi en t’associant à ma désobéissance comme si Tu la bénissais ! J’ai cherché des détours tout en recherchant ton accord ! Comment ai-je pu associer le profane ("sagesse d'en bas") au sacré (sagesse d'en haut") ?

    Mais aussi et de plus, l’histoire de Bilam le prophète corrompu des nations, nous apprend que le pire peut encore arriver, si malgré les avertissements nous persistons dans notre voie de désobéissance, nous risquons peu à peu de nous retrouver dans une situation qui nous placera dans le camp de l’adversaire, là où nous n’avons rien à y faire, dans un environnement qui n’est pas saint et face à des situations dont nous aurons beaucoup de mal à nous extirper. Pour exemple, nous pensons à ces « serviteurs de "Dieu", pasteurs et leaders » qui se sont associés aux actions de boycott "d’Israël" (seulement "l'Etat terrestre"), aux actions dites « de la flottille de la paix, anti blocus de Gaza ». N’ont-ils pas l’impression, tous ceux-là, de se ranger derrière « Bilam » avec des infidèles, gauchistes, islamistes et autres !* Attention, tous ceux qui se disent de Elohim ne le sont pas pour autant ; Bilam disait lui aussi qu’Élohim était son Elohim, et bien qu’il sache qui était Elohim, il s’en servait pour sa propre gloire, sa propre richesse…
    Note JYH: C'est vrai pour tellement d'autres "engagements" publics et "politiques" ! Rappelons aussi que "l'Etat israëlien" n'est pas "l'Israël de Elohim" et que vouloir s'en prendre à un "Israëlite en Yéshoua" peut être plus dangereux que de reprendre par exemple "ceux qui se disent juifs mais ne le sont pas". N'oublions pas que Yéshoua est déjà venu une fois et qu'IL a dit clairement ce qu'IL en pensait.
    Que la "sagesse d'en bas" ne se substitue jamais à la "sagesse d'en haut" !
    http://jyhamon.eklablog.com/l-etat-d-israel-est-il-l-israel-de-elohim-1ere-partie-nouvelle-version-a117302204


    “Car plusieurs marchent, dont je vous ai dit souvent et dont maintenant je le dis même en pleurant, qu’ils sont ennemis de la croix du Messie, dont la fin est la perdition, dont le dieu est le ventre et dont la gloire est dans leur honte, qui ont leurs pensées aux choses terrestres.” (Php 3:18-19)

    Ceux du monde non instruits dans la Parole, ne sont pas responsables au même titre que ceux qui "savent" mais dont les pensées sont toutefois séduites par les attraits des choses terrestres, c'est à dire des œuvres de néant, celles des ténèbres à tous niveaux de gravité, du pratique au spirituel ... Tel fut Bilam, tels sont ses imitateurs de toutes les époques qui mettent des pièges et des malédictions sur le chemin du tout Israël.



    Qu'elles sont belles tes tentes...



    Engagé pour maudire, Bilam ne put que s’étaler en éloges à la vue du campement d’Israël.

    “Que tes tentes sont belles, ô Jacob* ! et tes demeures, ô Israël* !”
    (No 24:5 DRB)
    * Note JYH: Comme déjà signalé à propos de la "Parachah Bamidbar",
    la distinction entre "Jacob" et "Israël" est suffisamment fréquente dans "l'Ecriture" pour qu'on s'y attarde un peu:
    Lorsqu'il est parlé de "Jacob" ce n'est pas "Israël" (ou pas encore Israël). Par exemple, que penser de Gen 46:2  "Elohim parla à Israël dans une vision pendant la nuit, et il dit : Jacob ! Jacob ! Israël répondit : Me voici !"... Ainsi, YHWH appelle "Jacob" avec insistance et c'est "Israël" qui répond ?
    Ou encore, dans le Psaume 105:23  "Alors Israël vint en Egypte, Et Jacob séjourna dans le pays de Cham."... ce n'est pas le même ?... ou faut-il une lecture à 2 niveaux ?
    Oui, il faut une lecture spirituelle et tenir compte du devenir d'un "Jacob terrestre" en "Israël spirituel"... sans compter que Jacob a eu "onze" fils et que c'est en tant que "Israël" qu'il a eu "Benjamin"... celui qui sera plus tard "de la Maison de Juda" et ancêtre du premier "roi": Saül, ennemi de David, ce qui semblerait compliquer encore les choses, quoique... !
    Pourrait-on aller plus loin dans cette étude comparative ? Oui, certainement.
    Toutefois, ce n'est pas le lieu et encore moins l'heure pour le faire car la confusion est aujourd'hui beaucoup trop grande à propos de "Israël" qui devrait toujours être "tout Israël de Elohim" mais qui est parfois "Maison d'Israël", Royaume du nord, appelé "Ephraïm" par les prophètes, et beaucoup plus souvent "l'Etat terrestre israëlien" représentant en partie "Juda" (Maison de) et sa vocation spécifique dans ces "derniers temps".
    On voudra bien noter cependant qu'en Nombres 24:5 cité plus haut, il nous est parlé de "tentes" (ohel) pour "Jacob" et de "demeures" (mishkan: tabernacle, sanctuaire) pour "Israël", "l'Israël de Elohim".


    La vue du camp d’Israël bien organisé selon l’ordre de campement décrit en Nombres 2, avec le Mishkan dressé en son milieu d’où s’élevait la fumée de l’autel, bien que remarquable n’était certainement pas le seul aspect que Bilam percevait. L’homme qui « voyait » le spirituel, ne pouvait que constater l’état de sainteté acquise par Israël. La beauté de ses tentes révélait la protection, le bouclier lumineux de YHWH, impénétrable à toutes tentatives extérieures d’attaque. Les essais de pénétrations occultes étaient d’avance voués à l’échec. L'Elohim qui avait vaincu les puissances d’Égypte, était toujours et plus encore le protecteur d’un peuple qui se sanctifiait depuis quarante ans.
    Un peuple qui n’a pas sa part parmi les nations, parce que son comportement différait en tous points du comportement délétère des nations. Un peuple nouveau né, orienté vers la vie, la pureté, portant les valeurs "divines" (de Elohim) de la sainte Torah… Israël était devenu intouchable, quasiment irréprochable, irrépréhensible. Ce peuple était en condition pour prendre possession de la Terre promise, le Royaume.

    Le Royaume et la venue de son Roi est à cette condition : “afin que lui se présentât l’assemblée à lui–même, glorieuse, n’ayant ni tache, ni ride, ni rien de semblable, mais afin qu’elle fût sainte et irréprochable.” (Eph 5:27 DRB)

    Donc sans accusation recevable et passible de jugement !
    « et sur ce roc (pétra – éven) Je bâtirai ma Qéhiyllah (sainte assemblée de tout Israël, le "goy qadosh" de Ex 19:6) et les portes du shéol (hadés- séjour des morts) n’auront pas de puissance sur elle » (Matt 16 :18 mot à mot)

    Donc inattaquable ! Mais restons sur nos gardes :
    “Soyez sobres, veillez, votre adversaire, le diable, comme un lion rugissant, rôde autour de vous, cherchant qui il pourra dévorer.” (1 Pi 5:8 DRB)



    La corruption, la tentation de l'assimilation



    Bilam n’avait pourtant pas dit son dernier mot. Il s’éloigne de Elohim et de l’obligation de bénir. Dégagé de cette « imposition » spirituelle, il s’emploie dans le domaine purement humain de la manipulation. Il organise un plan machiavélique : Israël est invincible parce qu’il est saint ! La solution consistera donc à le déchoir de sa sainteté en le pervertissant
    de l’intérieur.

    La démarche est simple : les filles de Moav allèrent vers les fils d’Israël, se firent acceptées bien sympathiquement certainement au départ… Peut-on refuser la discussion avec autrui seulement parce qu’il est d’un autre milieu ? Les relations évoluèrent, devinrent plus intimes, puis l’invitation à partager les habitudes festives de l’autre furent également adoptées…
    Quoi de plus normal, quand on a de bonnes relations de voisinage… L’idolâtrie et son cortège de « luxure » fit le reste… Israël tombait dans l’impureté adultérine physique et spirituelle. Certainement la pensée sous-jacente qui en infectait alors beaucoup parmi le peuple était « pourquoi ne ferions nous pas alliance avec ce peuple, nos enfants se marieraient avec les leurs et tout irait pour le mieux entre nous, nous formerions un seul peuple ». Le danger de l’assimilation, que nous connaissons bien depuis l’affaire de Dinah (voir Genèse 34) jusqu’à nos jours… est une manière toujours efficace pour faire la guerre
    aux "juifs" et aussi, ne nous leurrons pas à "toute la postérité d’Avraham" selon la foi au vrai Élohim, l’Élohim "d’Israël", "tout Israël", et en Son Fils.

    Que sont ces essais d’infiltration de la Maison de Elohim par du syncrétisme, de l’oecuménisme, des philosophies, des traditionalismes, de l’humanisme jusqu’au risque du révisionnisme et du remplacement-substitution, qui susurrent à l’oreille des enfants de Elohim ; venez faisons cause commune, nous viendrons chez vous, vous viendrez chez nous… Elohim, Allah, Bramah, le grand Manitou, etc… nos fêtes, vos fêtes, tout cela c’est la même chose… Le monde ne doit-il pas être une grande famille ?!

    Apprenons encore de Bilam, qu’il fut un initiateur de ce type de perfidie, et que son mode de fonctionnement était celui que lui inspirait son véritable père : le diable. Bilam ne disait-il pas qu’il était un prophète dont l'Elohim était YHWH. ! Assurément il était un super-faux prophète. Sa méthode est toujours d’actualité : La séduction ; il bénit par la bouche et il détruit par ses actes machiavéliques. Bilam mourut de l’épée des israélites (Nombres
    31 :8)

    Si la vraie assemblée du Seigneur ne peut être touchée de l’extérieur, alors l’ennemi cherchera à la corrompre de l’intérieur. Craignons dès lors qu’une plaie similaire à celle que subit Israël, 24 000 morts (ch. 25 :9) n’éclate parmi nos rangs, car l’impur ne peut côtoyer le Saint. Grâce soit rendue à Yéshoua qui interviendra avant qu’il ne soit trop tard, tel un Piynéhas qui terrassa le couple sacrilège du verset 8.

    “Il a son van dans sa main, et il nettoiera entièrement son aire et assemblera le froment dans son grenier, mais il brûlera la balle au feu inextinguible.” (Lu 3:17 DRB)

    “Nous savons aussi que le Fils de Elohim est venu, et il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable (Elohim) ; et nous sommes en ce Véritable, en son Fils Yéshoua Messie.
    C’est Lui (Elohim le Père) qui est l'Elohim véritable, et la vie éternelle. Petits enfants, gardez–vous des idoles ! Amen.” (1 Jn 5:20-21 )




    Shabbat Shalom véshavoua tov 





    JYH
    7/07/2017
    D'après "Blog Qéhila"
    (Copie autorisée et même souhaitable, à condition d'en redonner le texte intégral et les sources)




    « Pour "naître de nouveau" il faut "mourir" !Le christianisme contrefait de satan »
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