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    Rediffusion et complément 2016

    "Noël" et Babylone.

     

    Notre société s'efforce d'éviter toute possibilité d'offenser qui que ce soit... sauf notre ELOHIM !

    Le grand piège de "l'amour tolérant et permissif" c'est de ne plus aimer (AGAPÊ) Elohim... qui est SAINT !

     A force de vouloir oublier qu'il y a des "commandements" (ou "Instructions"), on ne connaît même plus le "Premier"... dont tous les autres dépendent... et recevoir un "autre esprit" (2 Cor 11:4) est devenu la règle !

     JYH

                     

    http://www.youtube.com/watch?v=-RdJvQg7YqI

    Voici un extrait du livre de Alexandre Hislop, intitulé "Les dieux de Babylone", qui traite de la fête de Noël

    babylone
                                                   Voir Apoc 17

    Je suis très conscient, que la majorité des personnes, dans les milieux chrétiens croient que la fête de Noël est associée à la naissance du "Christ" (tout simplement "Yeshoua" !). J'ai moi-même cru cela, dans un passé pas si éloigné. Cependant lorsque l'on regarde les écritures, il est impossible que notre Sauveur soit né le 25 décembre, parce que la Bible nous le dit, dans l'évangile de Saint Luc, les bergers dormaient à l'extérieur durant la nuit avec leur troupeaux. Et jusqu'à maintenant les bergers en Israël ne rentrent pas leurs troupeaux dans l'enclos avant les dernières semaines d'octobre, alors d'où vient cette date du 25 décembre? Et d'où vient cet arbre, le sapin de Noël, ainsi que toutes les autres traditions qui accompagnent cette fête de Noël?

    Si Rome est en effet la Babylone de l'Apocalypse; si la Madone adorée dans ses sanctuaires n'est autre que la reine du ciel dont les adorateurs provoquaient la terrible colère de Elohim (Dieu-Deus pour les romains) aux jours de Jérémie, il est de la dernière importance de bien établir le fait de manière à ce qu'il n'y ait plus aucun doute possible; car si on peut le démontrer , tout homme qui tremble à la parole de Elohim (Dieu) doit frissonner à la pensée de donner à un pareil système, soit comme individu, soit comme nation, la moindre protection ou le moindre soutien. Nous en avons déjà dit suffisamment pour montrer l'identité des systèmes Romain et Babylonien; mais à chaque pas l'évidence devient plus écrasante. C'est ce que prouvera particulièrement la comparaison des différentes fêtes. 

                                 black nativity
                                  Colonialisme et "Jésus" africain...

    Les fêtes romaines sont innombrables; mais il en est cinq parmi les plus importantes que nous pouvons mettre à part, ce sont : Noël, l'Annonciation, Pâques, la Nativité de Saint-Jean, et l'Assomption. Chacune de ces fêtes, on peut le prouver, est une fête, Babylonienne. 

    Prenons d'abord la fête en l'honneur de la naissance du Mashiah (Christos) ou Noël. Comment se fait-il que cette fête ait été établie le 25 décembre ?
    Il n'y a pas dans l'Écriture un seul mot sur le jour précis de sa naissance, ou sur l'époque de l'année où il naquit. Ce qui y est rapporté montre que quelle que soit l'époque de sa naissance, ce ne peut avoir été le 25 décembre. Lorsque l'ange annonça sa naissance aux bergers de Bethléem, ils paissaient leurs troupeaux pendant la nuit au milieu des champs. Sans doute, le climat de la Palestine n'est pas si rigoureux que le nôtre, mais bien que la chaleur de jour soit considérable, le froid de la nuit, de décembre à février, est très-vif, et les bergers n'avaient pas l'habitude de garder les troupeaux dans les champs après la fin d'octobre. Il est donc absolument incroyable que Yeshoua ("Christ" ?) soit né à la fin de décembre. Les commentateurs sont unanimes sur cette question. Sans parler de Barnes, Doddridge, Lightfoot, Joseph Scaliger, et Jennings, dans ses Antiquités Juives, qui sont tous d'avis que le 25 décembre ne peut pas être l'époque de la naissance du Seigneur, le célèbre Joseph Mède énonce une opinion décisive dans le même sens.

              palmier
                                      Le palmier égyptien, voir plus bas...


    Après avoir longuement et minutieusement examiné le sujet, il donne entre autres l'argument suivant : lors de la naissance du Mashiah (Christos), chaque femme, chaque enfant dut aller se faire enregistrer à la ville à laquelle ils appartenaient, et plusieurs avaient à faire de longues marches ; mais le milieu de l'hiver n'était pas propre à une pareille besogne, surtout pour les femmes et les enfants. Yeshoua (Christ) ne peut donc pas être né au milieu de l'hiver.

    De plus, à l'époque de sa naissance, les bergers veillaient avec leurs troupeaux pendant la nuit, et cela ne pouvait se faire au milieu de l'hiver. Et si quelqu'un pense que l'hiver n'est pas rigoureux dans ce pays, qu'il se rappelle les paroles de Yeshoua ha Mashiah dans l'Évangile : Priez que votre fuite n'arrive pas en hiver. Or, si l'hiver était une mauvaise saison pour fuir, ce n'était assurément pas une saison où les bergers pouvaient demeurer dans les champs, où les femmes et les enfants pouvaient voyager. Les écrivains les plus instruits et les plus sincères de tous les partis reconnaissent que l'on ne peut pas déterminer le jour de naissance de notre Seigneur, que dans l'église chrétienne on n'entendit jamais parler d'une fête pareille avant le III siècle, et qu'elle ne fut guère observée que bien avant dans le IV SIÈCLE. Comment donc l'Église Romaine a-t-elle fixé au 25 décembre la fête de Noël ?

    En voici la raison : longtemps avant le IV siècle, et même bien avant l'ère "chrétienne", les païens célébraient une fête à cette même époque de l'année, en l'honneur de la naissance du fils de la reine Babylonienne; or on peut présumer que pour se concilier les païens, et augmenter le nombre de ceux qui adhéraient de nom au "christianisme", la même fête fut adoptée par l'Église Romaine qui se contenta de lui donner le nom de "Christ"->"Christmas" in inglish. Cette tendance de la part des "chrétiens" à faire des concessions au paganisme se développa DE BONNE HEURE; et nous voyons Tertullien lui-même, vers l'an 230, déplorer amèrement la faiblesse des "chrétiens" à cet égard, et l'opposer à la stricte fidélité des païens à leur propre superstition:

    « C'est nous, dit-il, nous qui sommes étrangers aux sabbats, aux nouvelles lunes, et aux fêtes, nous qui étions autrefois agréable à Elohim (Dieu), c'est nous qui fréquentons maintenant les Saturnales, les fêtes du solstice d'hiver, les Matronales; on porte çà et là des présents, les cadeaux du nouvel an se font avec fracas, les jeux, les banquets se célèbrent avec des cris; oh ! comme les païens sont plus fidèles à leur religion; comme ils prennent soin de n'adopter aucune solennité "chrétienne" ! » Des hommes vertueux s'efforcèrent d'arrêter le flot, mais en dépit de tous leurs efforts, l'apostasie se développa, jusqu'à ce que l'Église, à l'exception d'un petit reste, fut engloutie sous la superstition païenne.

                                        Tertullien 
                                               Tertullien

    Il est hors de doute que Noël était à l'origine une fête païenne. Ce qui le prouve, c'est l'époque de l'année où on la célèbre et les cérémonies qui l'accompagnent. En Égypte, le fils d'Isis, titre égyptien de la reine des cieux, naquit à cette même époque, au moment du solstice d'hiver. Le nom même sous lequel Noël est populairement connu en Angleterre le jour d'Yule prouve tout de suite son origine païenne. Yule est le nom chaldéen pour « enfant, ou petit enfant »; et comme le 25 décembre était appelé par les anciens païens saxons le jour « d'Yule » ou « le jour de l'Enfant » et la nuit qui le précédait « la nuit de la Mère », et cela longtemps avant qu'ils ne fussent en contact avec le christianisme, cela prouve suffisamment son véritable caractère. Ce jour de naissance était observé bien loin dans les contrées païennes. On a généralement cru que cette fête avait seulement un caractère astronomique, et qu'elle rappelait simplement la fin de la course annuelle du soleil et le commencement d'un nouveau cycle. Mais il est hors de doute que la fête en question avait une bien plus haute portée; elle rappelait non seulement le symbole de la naissance du soleil au renouvellement de sa carrière, mais le jour de naissance du grand libérateur.

    "Noël" et Babylone !



    Les Sabéens d'Arabie, qui regardaient la lune et non le soleil comme le symbole visible de l'objet favori de leur culte, observaient la même époque comme la fête de la naissance. Nous lisons dans la Philosophie Sabéenne de Stanley : Le 24e jour du 10e mois, c'est-à-dire décembre, selon notre manière de compter, les Arabes célébraient le jour de la naissance du Seigneur, c'est-à-dire, la Lune. Le Seigneur Lune était le grand objet de culte des Arabes, et ce Seigneur Lune était né, disaient-ils le 24 décembre, ce qui montre clairement que la naissance qu'ils célébraient n'avait aucun rapport nécessaire avec le cours du soleil.

    Il importe de remarquer aussi que si le jour de Noël chez les anciens Saxons d'Angleterre était observé pour la célébration de la naissance d'un Seigneur de l'armée des cieux, le cas doit avoir été précisément le même ici qu'en Arabie. Les Saxons, on le sait, regardaient le soleil comme une divinité femelle, et la Lune comme une divinité mâle. C'est donc du soleil qu'ils célébraient le 25 décembre, comme les Arabes observaient le 24 décembre parce que c'était le jour de naissance de ce même Seigneur Lune. En Orient, il parait que le nom de ce Dieu Lune était Méni; c'est là en effet croyons-nous l'interprétation la plus naturelle de la déclaration divine faite dans Esaïe 65:11
    « Mais vous qui abandonnez l'Éternel (YHWH), qui oubliez ma montagne sainte, qui dressez la table à Gad et remplissez la coupe pour Méni ». On a des raisons de croire que Gad se rapporte à la divinité du Soleil, et Méni à la divinité de la Lune. Méni, ou Manai, signifie celui qui compte, et ce sont les changements de la lune qui aident à compter les mois. Ps 104:19. « Il a fait la lune pour marquer les temps; le soleil connaît sont coucher ».
    Le nom « d'homme de la lune » ou du dieu qui présidait à ce luminaire chez les Saxons était Mané, comme on le voit dans l'Edda, et Mani, dans le Voluspa. Ce qui prouve bien que c'était la naissance de ce Dieu Lune que célébraient à Noël les anciens Saxons, c'est le nom donné encore dans les Pays-Bas d'Écosse à la fête du dernier jour de l'année, et qui parait être un reste de l'ancienne fête de la naissance; en effet, les gâteaux qu'on fait à cette occasion s'appellent gâteaux de Nûr, ou de naissance. Ce nom, c'est Hogmanay.

                             yule

    "Noël" et Babylone !


    Or, Hogmanay en Chaldéen veut dire « la fête de celui qui compte » - en d'autres termes, la fête de deus Lunus ou de l'homme de la Lune. Pour montrer le rapport qu'il y a entre une contrée et une autre, et la persistance invétérée des anciennes coutumes, il est bon de remarquer que Jérôme, commentant les paroles d'Esaïe que nous venons de citer, sur l'usage de dresser une table pour Gad et d'offrir des libations à Méni, déclare que de son temps (au IV siècle), c'était encore la coutume dans toutes les villes et surtout en Égypte et à Alexandrie, de préparer des tables et de les charger de toute sorte de mets recherchés, et de coupes contenant du vin nouveau, le dernier jour du mois et de l'année : la foule en tirait des présages sur la fertilité de l'année. L'année égyptienne commençait à une époque différente de la nôtre; mais c'est aussi exactement que possible (en remplaçant seulement le vin par le whisky) la manière dont on observe encore Hogmanay en Écosse, le dernier jour du mois de l'année.

    Je ne sais pas si on tire aucun présage de ce qui se fait alors, mais tout le monde, dans le sud de l'Écosse, sait parfaitement qu'à Hogmanay, ou la veille du nouvel-an, parmi ceux qui observent encore les vieilles coutumes, on prépare une table, et que pendant qu'on offre des gâteaux et autres friandises, on distribue des galettes de gruau et de fromage à ceux qui n'en voient jamais qu'à cette occasion, et que la boisson forte entre pour une large part dans le menu du jour. 

    Là même où le soleil était l'objet favori du culte, comme à Babylone et ailleurs, il était adoré à cette fête, non seulement comme le globe du jour, mais comme le dieu incarné. C'était un principe essentiel du système Babylonien, que le soleil ou Baal était le seul "Dieu". Lors donc qu'on adorait Tammuz comme étant le Dieu incarné, cela voulait dire aussi qu'il était une incarnation du soleil. Dans la mythologie Indoue, qui, on le sait, est essentiellement Babylonienne, ce fait ressort distinctement. Surya, ou le soleil, y est représenté comme étant incarné, et venant dans le monde pour soumettre les ennemis des dieux qui, sans cette naissance, n'auraient jamais été soumis. 

    Ce n'était donc pas une fête astronomique que les païens célébraient au solstice d'hiver. Cette fête s'appelait à Rome la fête de Saturne, et la manière dont on la célébrait montre bien son origine. Organisée par Caligula, elle durait cinq jours. L'ivrognerie et la débauche se donnaient libre carrière, les esclaves étaient provisoirement émancipés, et avaient avec leurs maîtres toute sorte de libertés. C'était précisément de cette manière qu'on célébrait à Babylone, suivant Berose, la fête du mois Thebeth, correspondant à notre mois de décembre, ou en d'autres termes, la fête de Bacchus : c'était l'usage, dit-il, pendant les cinq jours qu'elle durait, que les maîtres fussent soumis à leurs serviteurs, et que l'un d'eux, vêtu comme un roi d'une robe de pourpre, gouvernât la maison. On appelait ce domestique ainsi vêtu, Zoganes, l'homme du plaisir et de la dissipation; il correspondait exactement au « dieu du tumulte » qui dans les époques de ténèbres, fut choisi dans tous les pays catholiques pour présider aux fêtes de Noël. La coupe des festins de Noël a son contre-pied dans « le festin de l'ivresse » à Babylone, et plusieurs autres coutumes encore observées à Noël ont la même origine. Les bougies qu'on allume la veille de Noël, dans quelques parties de l'Angleterre, et qu'on garde pendant toute la durée des fêtes, étaient aussi allumées par les païens la veille de la fête de la naissance du dieu Babylonien et en son honneur; car c'était l'une des particularités de son culte d'avoir des bougies allumées sur ses autels. L'arbre de Noël, si connu aujourd'hui parmi nous, était aussi connu dans la Rome et dans l'Égypte païennes. 

                             yule

    En Égypte c'était le palmier, à Rome le sapin; le palmier dénotait le Messie païen, Baal-Tamar, le sapin se rapportait à lui sous son caractère Baal-Berith. La mère d'Adonis, le dieu soleil, la divinité médiatrice avait été, disait-on, changée en arbre, et dans cet état elle avait enfanté son fils. Si la mère était un arbre, le fils doit avoir été reconnu comme l'homme-branche. Et c'est ce qui explique pourquoi on mettait au feu la bûche de Yule la veille de Noël, et pourquoi le lendemain on trouvait l'arbre de Noël. En qualité de Zero ashta, la semence de la femme, qui signifie aussi Ignigena, ou né du feu, il doit entrer dans le feu pendant la nuit de la Mère, afin de pouvoir naître le lendemain, comme branche de dieu, ou l'arbre qui donne aux hommes tous les dons célestes.

    Mais pourquoi, demandera-t-on, entre-t-il dans le feu sous le symbole d'une bûche ? Pour le comprendre, il faut se rappeler que le "divin enfant" né au solstice d'hiver était comme une nouvelle incarnation du grand dieu, (après que ce dieu eut été mis en pièces) afin de venger sa mort sur ses meurtriers. Or le grand dieu, brisé aux milieu de son pouvoir et de sa gloire, était représenté sous la forme d'un gros arbre, dépouillé de ses branches, et coupé presque à hauteur de terre. Mais le grand serpent, symbole d'Esculape qui rend la vie, s'enroule autour du trône sans vie, et voici qu'à ses côtés surgit un jeune arbre, un arbre d'une espèce entièrement différente, qui ne doit jamais être abattu par aucune puissance ennemie, un palmier, le symbole bien connu de la victoire. 

                        tammuz

    L'arbre de Noël, comme on l'a déjà vu, était ordinairement à Rome un arbre différent, c'était le sapin; mais le palmier rappelait la même idée que le sapin de Noël; car il symbolisait mystérieusement le dieu né de nouveau, Baal-Berith, le Seigneur de l'alliance, et ainsi témoignait de la perpétuité et de la nature de son pouvoir, maintenant qu'après avoir succombé sous ses ennemis, il s'était élevé en triomphe au dessus d'eux. Aussi le 25 décembre, jour qu'on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était réapparu sur la terre, était-il considérer comme « Natalis invicti solis », le jour de naissance du soleil invaincu. Or, la bûche de Yule est le tronc mort de Nemrod, déifié comme dieu-soleil, mais renversé par ses ennemis; l'arbre de Noël est Nemrod redivivus, le dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie.

    À la lumière jetée par ce fait sur les coutumes qui persistent encore en Angleterre, et dont l'origine s'est perdue au milieu d'une antiquité reculée, que le lecteur considère la singulière pratique encore en usage dans le sud la veille de Noël, celle de s'embrasser sous la branche de Gui. La branche de gui, dans la superstition druidiques, qui nous l'avons vu, venait de Babylone, était une représentation du Messie, l'homme-branche. Le gui passait pour une branche divine, une branche qui venait du ciel et poussait sur un arbre qui sortait de la terre. Ainsi en greffant la branche céleste sur un arbre terrestre, le ciel et la terre que le péché avait séparés, étaient réunis, et ainsi la branche de gui devint le gage de la réconciliation de "Dieu" avec l'homme; le baiser en effet, est le gage bien connu du pardon et de la réconciliation.

    D'où pouvait venir une pareille idée ? Ne serait-ce pas du Psaume 85:10,11 :
    « La grâce et la vérité se sont rencontrées; la justice et la paix se sont entrebaisées; la vérité jaillira de la terre (à cause de la venue du Sauveur promis) et la justice regardera du haut des cieux » ? C'est possible; mais il est certain que ce psaume fut écrit bientôt après la captivité de Babylone, et comme des foules de Juifs, après cet événement, demeuraient à Babylone sous la direction d'hommes inspirés, comme Daniel, il doit leur avoir été communiqué comme partie de la Parole divine aussi bien qu'à leurs frères de Palestine. Babylone était à cette époque le centre du monde civilisé, et ainsi le paganisme, corrompant le "divin" symbole comme il l'a toujours fait, avait des facilités pour propager jusqu'aux extrémités de la terre son odieuse contrefaçon de la vérité, grâce aux mystères affiliés avec le grand système qui avait son centre à Babylone.

    Ainsi les coutumes de Noël qui existent encore jettent une lumière étonnante sur les révélations de la grâce faite à toute la terre, et sur les efforts tentés par Satan et ses émissaires pour les matérialiser et les rabaisser!

    Dans bien des pays, on sacrifiait au dieu un sanglier pour expier l'injure que, d'après la légende, un sanglier lui avait faite. Suivant une version de l'histoire de la mort d'Adonis, ou Tammuz, ce dieu mourut de la blessure faite par la dent d'un sanglier. La fable raconte que le Phrygien Attes, le bien-aimé de Cybèle, dont l'histoire était identifiée à cette d'Adonis, mourut de la même manière. Aussi Diane qui, représentée ordinairement dans les mythes populaires comme une chasseresse, était en réalité la grande mère des dieux, a-t-elle souvent près d'elle une tête de sanglier, non pas en signe d'une chasse heureuse, mais bien de triomphe, sur le grand ennemi du système idolâtre dans lequel elle occupait une place si importante. D'après Théocrite, Vénus se réconcilia avec le sanglier qui tua Adonis, parce que le jour où on l'amena enchaîné à ses pieds, il se défendit éloquemment, en disant qu'il n'avait point tué son époux par méchanceté, mais simplement par accident. Cependant, en souvenir de la mort causée par le sanglier du mythe, plus d'un sanglier perdit sa tête ou fut offert en sacrifice à la déesse irritée. Smith nous représente Diane avec une tête de sanglier auprès d'elle, au haut d'un monceau de pierre, dans la gravure ci-contre où l'on représente l'empereur Trajan brûlant de l'encens à cette même déesse, et où la tête du sanglier est très apparente. Le jour de Noël, les Saxons du continent offraient un sanglier en sacrifice au soleil pour se rendre propice cette déesse, à cause de la perte de son bien-aimé Adonis. À Rome il y avait une coutume semblable; le sanglier formait le centre principal de la fête de Saturne. 

    Tammuz,

    C'est pour cela que la tête du sanglier est encore un plat important en Angleterre aux dîners de Noël, alors que la raison en est depuis longtemps oubliée. Bien plus, l'oie de Noël et les gâteaux de Yule, étaient des articles essentiels du culte du Messie Babylonien, tel qu'il était pratiqué en Égypte et à Rome. Wilkinson, parlant de l'Égypte, nous apprend que l'offrande préféré d'Osiris était une oie, et de plus que l'oie ne pouvait se manger que dans le coeur de l'hiver. À Rome, nous dit Juvénal, si l'on offensait Osiris, on ne pouvait l'apaiser que par une belle oie et un gâteau mince. 

    Dans bien des pays, nous en avons la preuve, l'oie avait un caractère sacré. On sait fort bien que le Capitole de Rome fut sauvé, au moment où les Gaulois allaient le prendre au milieu de la nuit, par les cris des oies sacrées de Junon qu'on gardait dans le temple de Jupiter. Dans l'Inde, l'oie occupait une position semblable; ou des oies consacrées à ce dieu. Enfin les monuments de Babylone nous apprennent que l'oie avait en Chaldée un caractère mystique, et qu'on l'y offrait en sacrifice aussi bien qu'à Rome ou en Égypte, car on y voit le prêtre tenant dans une main une oie, et dans l'autre son couteau de sacrifice. Il n'y a donc pas à douter que la fête païenne du solstice d'hiver, en d'autres termes, Noël, ne fût observée en l'honneur du Messie Babylonien. 

    Si nous passons maintenant à la grande fête suivante du calendrier romain, nous avons la confirmation de ce qui vient d'être dit. Cette fête, appelée l'Annonciation, se célèbre à Rome le 25 mars, en souvenir, dit-on, de la conception miraculeuse de notre Seigneur dans le sein de la Vierge, le jour où l'ange vint lui annoncer l'honneur éclatant qui lui serait accordé, comme mère du Messie. Mais qui pourrait dire à quelle époque cette nouvelle lui fut apportée? L'Écriture ne donne aucun renseignement là-dessus. Mais cela importait peu. Avant la conception ou la naissance de notre Seigneur, ce jour qui est marqué dans le calendrier papal pour l'Annonciation de la Vierge était observé dans la Rome païenne en l'honneur de Cybèle, la mère du Messie Babylonien. Or, il est évident qu'il y a une relation étroite entre le jour de l'Annonciation et celui de Noël. Entre le 25 mars et le 25 décembre, il y a juste 9 mois. Si donc, le faux Messie fut conçu en mars et naquit en décembre, peut-on croire un seul instant que la conception et la naissance du véritable Messie aient pu s'accorder d'elles-mêmes avec ces deux dates d'une manière si exacte, non seulement pour le mois, mais même pour le jour? Non, la chose est impossible. L'Annonciation et la fête de Noël sont donc des fêtes Babyloniennes.

    adonis

    "Ainsi a dit l'Éternel (YHWH): N'apprenez pas les façons de faire des nations; et ne craignez pas les signes des cieux, parce que les nations les craignent. Car les statuts des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt; la main de l'ouvrier le travaille à la hache; On l'embellit avec de l'argent et de l'or; on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu'il ne vacille point." (Jérémie 10:2-4) 

    Ceci ne ressemble t-il pas à un arbre de Noël. Les principes sont les mêmes. 

    Le Seigneur nous dit : "Car les statuts des peuples ne sont que vanité...Qui ne te craindrait, roi des nations? Car cela t'est dû. Car parmi les plus sages des nations et dans tous leurs royaumes, nul n'est semblable à toi. Ils sont tous ensemble abrutis et insensés. Ce bois n'enseigne que vanités."
    (Jérémie 10:3,7 )

    Nous devons donc nous faire une idée, allons-nous suivre les traditions ou les écritures? Mais la vérité est que, comme enfants nés de nouveaux, nous devons sans cesse nous rappeller: N'apprenez pas les façons de faire des nations.


    D'après: http://www.noelistique.com/noel-2011/articles/fete-de-noel-mythologie.html

    Noël et la fête de l'Annonciation, les dieux de Babylone
    Les Deux Babylones, 

    Alexandre Hislop, 

    Librairie Éditions Fischbacher, 
    1972, Paris, p. 133-150

    Nota Bene: Les (faux) noms de "christ", "Jésus", "Dieu"... ont été remplacés ou complétés par "Mashiah", "Yeshoua", "Elohim"...

    .. et cette année, un petit cadeau pour le dessert:

    "Noël" et Babylone !

     Voir aussi: http://jyhamon.eklablog.com/la-veritable-origine-de-noel-a59351847


     

    JYH
    21/11/2012
    (Copie autorisée et même souhaitable, à condition d'en redonner le texte intégral et les sources)

     


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    Rediffusion 2016

    Par David C. Pack

    Traduit par Jean Richard

    Quelle est l’origine de Noël ? De la Bible ou du paganisme ? Quelle est l’origine véritable du Père Noël, du gui, des arbres de Noël, des guirlandes et de la coutume d’échanger des cadeaux ? Plusieurs voudraient « réintroduire le Mashiah (Christos) dans la fête de Noël ». Y a-t-Il seulement jamais été ? Voici les réponses étonnantes à ces questions !

    Chaque année lorsque l’automne avance, les pensées d’un grand nombre de personnes se tournent vers Noël. C’est le moment où les chrétiens pratiquants doivent se concentrer sur un certain Iésous-christos grec (au lieu de Yéshoua ha Mashiah). Après tout c’est une période qui Lui est dédiée !

    Rudolph, le petit renne au nez rouge, les guirlandes, les arbres décorés, le gui, les échanges de souhaits, la musique de Noël, les marrons grillés ainsi que le Père Noël sont toutes des choses qui sont associées à cette fête. Chacune d’elles apportent à tous ceux qui la célèbrent un sentiment de douce chaleur.

    J’ai grandi dans une famille qui observait Noël et pour laquelle c’était un événement très important, année après année. Nous n’oubliions rien de ce qui faisait partie de la fête. Le 24 décembre au soir, la nervosité croissait à chaque minute qui passait. Mes parents allaient jusqu’à faire chauffer du café noir frais pour le Père Noël juste avant de nous envoyer nous coucher. Je me suis toujours demandé comment ils avaient appris que le Père Noël aimait son café noir, juste comme eux-mêmes l’aimaient. Après avoir été au lit, j’avais de la difficulté à m’endormir et j’étais impatient d’arriver au matin afin de découvrir ce que le « Père Noël » m’avait apporté.

    La véritable origine de NOËL

    Noël est considéré par la plupart comme étant une des plus belles périodes de l’année, celle où les gens en profitent pour donner, pour se rassembler en famille, pour écouter de la belle musique et décorer les maisons, pour manger tous ensemble et même chanter des chants de Noël dans le voisinage (comme ma propre famille le faisait chaque année). Toutes ces coutumes veulent être le reflet de l’adoration que nous avons pour le "Christ" (plus justement "le Mashiah"=Messie). Et, sans conteste, c’est ce que la Bible nous dit de faire, n’est-ce pas ?

    Les réponses à cette question vous surprendront !

    Pourquoi les gens pensent-ils que Noël est merveilleux ? Personnellement, je trouvais cette période merveilleuse. J’ai accepté ce que mes parents m’avaient appris. Je n’avais aucune raison de douter de ce qu’ils m’avaient dit. En fait, ils ne faisaient que m’enseigner ce que leurs parents leur avaient enseigné. Jamais je n’ai remis en question l’origine de Noël !

    La plupart des gens ne réfléchissent jamais aux raisons qu’ils ont de croire ce qu’ils croient ou de faire ce qu’ils font. Nous vivons dans un monde rempli de coutumes mais très peu se soucient d’en chercher les origines. Nous les acceptons généralement comme allant de soi. En fait, la plupart des personnes font ce que tous les autres font — parce que c’est aisé et naturel.

    http://jyhamon.eklablog.com/qu-est-ce-qu-un-chretien-perroquet-a58669799

    Examinons soigneusement les racines de la fête de Noël. Voyons quelles sont les raisons de l’existence des coutumes qui lui sont associées. Pourquoi la fête s’observe-t-elle le 25 décembre ? L’Église apostolique du "Nouveau Testament" (qui n'existe pas !)* observait-elle cette fête ? Cette brochure est remplie de faits historiques qui, une fois regroupés, permettent d’obtenir une image complète. Évitons les suppositions et n’acceptons que les faits qui peuvent être PROUVÉS !
    http://jyhamon.eklablog.com/3-nouveau-testament-au-lieu-de-alliance-nouvelle-ou-renouvelee-a78524315



    Origine païenne

    En 1990, la commission scolaire de Solon, (banlieue de Cleveland) en Ohio, a interdit les représentations de la nativité ou de Noël sous prétexte qu’elles violaient le principe de la séparation de l’Église et l’État. Les parents, outragés par leur décision, traînèrent la commission devant les tribunaux. Ces personnes se sentaient lésées car, disaient-elles, on volait le Noël qui appartenait à leurs enfants et à la communauté. La Commission perdit sa cause ! Les citoyens avaient plaidé que Noël était une tradition universelle qui ne faisait partie d’aucune religion car elle la transcendait. On jugea que c’était une fête séculière qui faisait partie de toutes les cultures à travers le monde.

    La décision de la Cour stipulait que Noël n’avait aucune racine "chrétienne" (et encore moins "Israëlite"=peuple de Elohim) ! Par contre, selon l’opinion de la Cour, la lecture de la Bible et la prière étaient évidemment associées au christianisme — une admission toute à fait remarquable ! La Cour conclut que l’observance de Noël et les scènes de nativité pouvaient continuer car elles ne faisaient pas partie réellement du christianisme ni de la religion — mais que la prière et la lecture de la Bible, qui elles sont « religieuses » devaient demeurées exclues des écoles.

    Pratiquement tout dans la célébration de Noël a ses racines dans les coutumes et la religion romaines. Lisez ce qu’en a dit un important journal américain (The Buffalo News, 22 novembre 1984) : « :La référence la plus ancienne à la célébration de Noël un 25 décembre, est datée du second siècle après la naissance de Yeshoua le Mashiah ("jésucri" pour les pagano-chrétiens). On croit que les premières célébrations de Noël se tinrent en réaction aux saturnales romaines, un festival des moissons à l’occasion du solstice d’hiver —le retour du Soleil — et pour honorer Saturne, le dieu des semailles. Les saturnales étaient une période plutôt chahuteuse à laquelle s’opposaient fermement les chefs austères de la secte chrétienne encore minoritaire de l’époque. La fête de Noël, dit un érudit, a pris de l’ampleur parce qu’elle servit à remplacer l’adoration du soleil (sun) par l’adoration du Fils (Son). En 529 ap. "J.-C".., après que le christianisme fut devenu la religion d’état, l’empereur Justinien fit de Noël une fête officielle. La célébration de celle-ci atteint son summum — certains diront son point le plus bas — pendant la période médiévale lorsqu’elle devint une période de consommation incontrôlée et de festivités encore inégalées. »

    Considérez ces citations tirées de l’Encyclopédie catholique, édition 1911, sous la rubrique « Noël ». « Noël n’était pas une des premières fêtes de "l’Église"…les premières preuves de son existence proviennent d’Égypte. »
    De plus, « Les coutumes païennes de la période des calendes de janvier se déplacèrent vers Noël. » Sous le titre « jour de la nativité », Origène, un des premiers écrivains catholiques admet. : « …Dans les Écritures, on ne voit personne fêter ou tenir un grand banquet le jour de son anniversaire. Ce ne sont que les pécheurs (comme Pharaon et Hérode) qui tiennent de grandes réjouissances l’anniversaire du jour où ils sont nés dans ce monde » (Partout c’est nous qui traduisons et qui soulignons).

    L’Encyclopédie Americana, édition 1956, ajoute : « Noël… ne fut pas observée pendant les premiers siècles puisque l’usage était, en général, de célébrer la mort de personnes importantes plutôt que leur naissance…une fête fut établie pour cet événement (la naissance de Yeshoua le Mashiah) au quatrième siècle. Au cinquième siècle l’Église de l’Ouest ordonna que la fête soit célébrée perpétuellement le jour des rites mithriaques de la naissance du Soleil ainsi qu’à la fin des saturnales, puisqu’il n’y avait aucune certitude quant à la date exacte de la naissance du Messie. »

    Impossible de faire erreur sur l’ORIGINE moderne de la célébration de Noël. Nous pourrions citer plusieurs autres sources. Nous y reviendrons plus loin. Commençons par rattacher ensemble certains faits.

    Cela a pris 300 ans avant que l’Église romaine observe Noël et ce n’est qu’au cinquième siècle qu’elle ne devint obligatoire dans tout l’empire en tant que festival officiel en l’honneur de leur « Christ ».



    Le "Christ" (Yeshoua le Mashiah) peut-Il être honoré par la fête de Noël ?

    La justification la plus fréquente que l’on entend au sujet de Noël est que les gens ont remplacé les vieilles coutumes et intentions païennes en disant que, maintenant, elles sont « centrées sur le Christ. » J’en ai entendu plusieurs dire qu’ils « honoraient le Christ » par leur observance de Noël. Le problème est que Dieu-Elohim ne dit pas que cela est acceptable à ses yeux. En fait, Il nous commande clairement de ne pas le faire. Observer Noël déshonore l'oint de YHWH ! Il considère tout ce qui s’y rapporte comme une abomination ! Nous verrons pourquoi bientôt.

    Yeshoua a dit : « C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes » (Matth 15 :9). Noël n’a pas été ordonné par Dieu-Elohim. C’est une tradition d’hommes. Et Yeshoua poursuit, : « Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu-Elohim, pour garder votre tradition » (Mc 7 :9). Chaque année, dans le monde entier, des centaines de millions de personnes font exactement cela !

    Nous allons voir que Dieu-Elohim nous commande clairement, « N’imitez pas la voie des nations ». Or la majorité des gens ne Le craignent pas, mais Elohim leur permet de décider par eux-mêmes. Les êtres humains possèdent le libre-arbitre — libre d’obéir ou de désobéir à Elohim (Dieu) ! Mais malheur à ceux qui ignorent la Parole de Dieu-Elohim !



    Yeshoua est-Il né un 25 décembre ?

    Yeshoua le Messie est né très probablement durant l’automne. Plusieurs croient erronément qu’il est né au début de l’hiver, le 25 décembre ! Ils se trompent.

    Voyez le Adam Clarke Commentary, volume 5, page 370, édition New York :
    « Il était habituel pour les Juifs d’envoyer leurs brebis au désert aux alentours de la Pâque (tôt le printemps), et de les ramener au bercail au début des premières pluies. » Ces premières pluies commencent entre le début de l’automne et la mi-automne. Si l’on poursuit la citation : « Pendant le temps de leur sortie les bergers les surveillaient nuit et jour. Comme… le début de la pluie était tôt au mois de marchesvan, ce qui correspond en partie aux mois d’octobre et de novembre (commençant parfois en octobre), nous constatons que les brebis demeuraient à l’extérieur pendant tout l’été. Comme ces bergers n’avaient pas encore ramené leurs brebis au bercail, on peut supposer que le mois d’octobre n’avait pas encore commencé et que, conséquemment, notre Seigneur n’est pas né un 25 décembre, parce que les troupeaux étaient encore dans les champs. Il n’aurait pas pu naître plus tard qu’en septembre, les troupeaux étant toujours dans les champs, la nuit. En nous basant sur ces faits seulement, l’idée d’une nativité en décembre devrait être abandonnée. Le pacage des bêtes la nuit dans les champs est un fait chronologique
    Vous pouvez aussi lire les citations des Talmudistes par Lightfooth. »

    Luc 2 :8 nous explique que lorsque Yeshoua est né. « Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux. ».
    Veuillez remarquer qu’ils demeuraient dans les champs. Ceci ne s’est jamais produit au mois de décembre. Esdras 10 :9-13 et le Cantique des Cantiques
    2 :11 montrent que l’hiver était la saison des pluies et que les bergers ne pouvaient demeurer dans les champs la nuit.

    Un grand nombre d’encyclopédies stipulent clairement que Yeshoua n’est pas né un 25 décembre ! L’Encyclopédie catholique confirme directement ce fait. En toute vraisemblance, le Messie est né en automne ! Une longue explication technique prouverait ce point. [En fait, "l'explication technique" est relativement simple à donner: il suffit de savoir que Zacharie, père de Jean le baptiste, était "sacrificateur de la classe d'Abia" (Luc 1:5), que chaque classe avait une période précise de service et que ces périodes sont connues, et qu'au moment de la conception de JB, Zacharie était de service dans le Temple. Pour le reste, la Parole nous révèle que Yeshoua a été conçu (et est donc né) 6 mois plus tard (Luc 1:26)]
    Un autre calcul basé sur les Jubilés le fait naître à Chavouot au printemps... mais de toute façon pas "en hiver" !

    Comme nous savons maintenant que la date du 25 décembre n’est même pas proche de la date de naissance de Yeshoua, d’où proviennent donc les festivals associés à cette date ?

    Lisez maintenant la citation suivante sous la rubrique « Noël ». « Dans le monde romain, les saturnales (17 décembre) étaient une période de réjouissances et d’échanges de cadeaux. Le 25 décembre était également considéré comme le jour de la naissance du dieu des mystères iranien Mithra, le Soleil de Justice. Le Jour de l’An romain (1er janvier), les maisons étaient décorées de verdure et de lumières, et des cadeaux étaient remis aux enfants et aux pauvres. À ces célébrations étaient ajoutés les rites germaniques et celtiques de la bûche (de Noël) provenant du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la période, la verdure et les sapins, les cadeaux et les souhaits soulignaient tous différents aspects de cette période de réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours été associés aux festivals d’hiver, autant païens que chrétiens » (Encyclopédie Britannique, 15E édition, Vol. II, p. 903).

    Une dernière référence au sujet du 25 décembre en tant que date de naissance du Messie est nécessaire. Prenez note de l’article paru dans le Toronto Star en décembre 1984, rédigé par Alan Edmonds et intitulé, « Nous devons beaucoup aux druides et aux Hollandais » (partout, c’est nous qui traduisons). La Réforme a quelque peu terni Noël. Déjà à cette époque certains ecclésiastiques politiciens rusés avaient adopté le festival hivernal païen comme la prétendue date de naissance de Yeshoua de Nazareth et, y avaient joint quelques autres friandises païennes afin de les rendre acceptables.

    Le 25 décembre n’a pas été choisi parce que c’était la naissance de Yeshoua ou même parce qu’il s’en rapprochait. Cette date fut choisie parce qu’elle coïncidait avec le festival idolâtre et païen des saturnales ! Cette célébration doit être soigneusement examinée.
    Quoi qu’il en soit, nous ne connaissons pas la date exacte de la naissance du Messie. Bien que Dieu-Elohim ait pu nous la faire connaître, Il a choisi de la cacher aux yeux du "monde" ! (Mais c'est très probablement pendant l'une des "fêtes de YHWH", Lévitique 23)

    La véritable origine de NOËL

     


    Qui était Saturne ?

    Les citations précédentes ont introduit les saturnales. Examinons plus en profondeur qui était Saturne. Considérons d’abord la citation suivante provenant d’un autre grand journal américain, The Democrat and the Chronicle, Rochester, New York, décembre 1984 : « Le festival romain des saturnales, 17 au 24 décembre, encourageait les citoyens à décorer leurs maisons avec de la verdure et des lumières et à faire des cadeaux aux enfants et aux pauvres. Le festival du 25 décembre, natalis solis invicti ou la naissance du soleil invincible, avait été décrété par l’empereur Aurélien en 274 ap. J.-C. en tant que célébration du solstice d’hiver et plus tard… fut "christianisé" en tant que date à laquelle était né le "Fils de la Lumière".

    Le Dr William Gutsch, président du Musée américain d’histoire naturelle — planétarium Hayden, a confirmé l’origine de Noël par la citation suivante, le 18 décembre 1989, dans le journal de Westchester, The Reporter Dispatch :

    « Les premiers Romains ne célébraient pas Noël mais plutôt une fête païenne appelée saturnales. C’était une fête annuelle qui se tenait au début de l’hiver, ou du solstice d’hiver. C’était la période pendant laquelle le soleil avait emprunté le chemin le plus bas au-dessus de l’horizon et où les jours commençaient à rallonger annonçant par cela une autre saison de croissance.

    Si plusieurs des ornements des saturnales ressemblent, d’une façon ou d’une autre, à ceux que nous avons aujourd’hui, nous savons maintenant où nous avons emprunté…nos traditions des fêtes. En réalité, on a suggéré que bien que Yeshoua ne soit fort probablement pas né à la fin décembre, les premiers chrétiens, étant toujours une secte hors-la-loi, avaient changé la date de la célébration de Noël pour celles des saturnales afin de ne pas attirer l’attention sur eux pendant qu’ils célébraient leur propre fête. »

    Les saturnales, bien entendu, célébraient Saturne, le dieu du feu. Saturne était le dieu des semailles parce que la chaleur du soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. Il était aussi adoré lors de ce festival qui se tenait au plus creux de l’hiver, afin qu’il revienne (il était le « soleil ») réchauffer la terre pour que les semailles de printemps puissent avoir lieu. La planète Saturne a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu !

    Virtuellement chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens (et parfois les Romains) l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Chronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne. Les Babyloniens l’appelaient Tammuz (en tant que Nimrod ressuscité en la personne de son fils), Moloch ou Baal (comme l’appelaient aussi les druides). Tous ces titres étaient en fait les différents noms de Nimrod. Ce dernier est considéré comme père de tous les dieux babyloniens. ("Titre" que l'église romaine a malheureusement utilisé comme "Deus trinitaire" afin d'égarer le peuple d'Elohim !)



    Les sacrifices d’enfants.

    Veuillez noter la pratique horrible qui est associée à l’adoration du dieu du feu (Nimrod, Saturne, Chronos, Moloch et Baal) dans les références suivantes tirées du livre Les deux Babylones d’Alexander Hislop, p. 231.

    « Maintenant, ceci est en concordance exacte avec le caractère du dirigeant suprême de ce système d’adoration du feu. Nimrod, en tant que représentation du feu dévorant, auquel les victimes humaines, tout particulièrement des enfants, étaient offertes en sacrifice, était considéré comme le grand dévoreur…il était, bien entendu, le vrai père de tous les dieux babyloniens ; et, qui par la suite a toujours été universellement considéré en tant que tel. En tant que Père des dieux, il fut, comme nous l’avons vu, appelé Chronos. Tout le monde connaît l’histoire classique de celui qui simplement « dévorait ses fils aussitôt qu’ils naissaient ». (Lempriere Classical Dictionnary, Saturn)…Cette légende possède encore un sens plus profond ; toutefois, appliqué à Nimrod, dit « le Cornu », cela fait simplement allusion au fait que, en tant que représentation de Moloch ou Baal, les enfants étaient l’offrande la plus acceptable sur son autel. Nous possédons suffisamment de tristes preuves à ce sujet à partir des archives de l’Antiquité. « Les Phéniciens » disaient Eusèbe, sacrifiaient chaque année leurs nouveau-nés bien-aimés à Chronos ou Saturne. »

    Mais pourquoi les sacrifices humains ont-ils une telle importance dans l’adoration de ce terrible dieu ? Quel bien les êtres humains pouvaient-ils espérer dans le fait de sacrifier leurs propres enfants ? Continuons :
    « …celui qui s’approchait du feu recevait une lumière de la part de la divinité » et « par ce feu divin toutes les taches dues aux générations précédentes pouvaient être effacées. » C’est la raison pour laquelle ils [ont fait passer par le feu] à Moloch leurs fils et leurs filles (Jér 32 :35). (Partout c’est nous qui traduisons).

    Aussi incroyable que cela puisse paraître, des êtres humains séduits croyaient réellement qu’ils plaisaient à leur « dieu » en sacrifiant leurs propres petits enfants innocents. Ils croyaient que le feu les purifiait du péché originel. La doctrine païenne énonçant la nécessité de passer du temps au purgatoire afin de purifier l’âme de tout péché tire son origine de cette croyance !

    Qui était Nimrod ?

    Nous devons examiner de plus près qui était ce personnage biblique. Nous avons déjà pu constater qu’il était un des faux dieux originaux de l’histoire. Mais que pouvons-nous apprendre de plus ?

    Genèse 10 :9 dit de Nimrod : « Il fut un vaillant chasseur devant [à la place de] l’Eternel ». En fait, il a tenté de remplacer Dieu-Elohim.

    Le réputé historien juif, Flavius Josèphe a écrit dans « les Antiquités judaïques » des preuves importantes sur le rôle de Nimrod après le déluge universel. Voyez : « …il [Nimrod] aspirait à la tyrannie…il leur offrit de les protéger contre lui [Dieu-Elohim] s’il menaçait la Terre d’un nouveau déluge, et de bâtir à cet effet une tour si haute que non seulement les eaux ne pourraient s’élever au-dessus, …Ce peuple insensé se laissa aller à cette folle persuasion qu’il lui serait honteux de céder à Dieu-Elohim » (Livre I, Chapitre IV, sec 2,3).

    C’est sous plusieurs noms que les premiers, et sans doute les plus grands, rebelles ont été adorés au moyen de fausse religion. Israël n’a jamais cessé de servir les nombreux faux dieux que Nimrod représentait.

    Ézéchiel 8 :13-14 parle d’une vision au sujet de femmes d’Israël « qui pleuraient Thammuz ». Ce Thammuz (dieu du feu) aurait représenté Nimrod et l’étymologie du mot est absolument fascinante.Tam signifie « rendre parfait » et muz « feu ». La signification est très claire en regard de ce que nous avons déjà appris. Incidemment, pendant la guerre Tempête du Désert, entre l’Irak et le Koweit, Saddam Hussein avait même nommé un de ses missiles « Thammuz ». Il avait certainement compris que la signification du nom impliquait du feu.



    Sacrifiés à Moloch.

    Voyons comment le peuple de Dieu-Elohim, Israël, adorait Baal-Moloch une fois qu’il avait abandonné le véritable Elohim : « Ils ont bâti des hauts lieux à Baal dans la vallée de Ben-Hinnom, pour faire passer (par le feu) à Moloch leurs fils et leurs filles : Ce que je ne leur avais point ordonné ; et il ne m’était point venu à la pensée qu’ils commettraient de telles horreurs… », (Jér 32 :35).

    Veuillez noter que YHWH-Adonaï notre Elohim Lui-même dit que de telles horreurs ne lui étaient jamais venues à la pensée. « Ils ont bâti des hauts lieux à Baal, pour brûler leurs enfants au feu en holocaustes à Baal : Ce que je n’avais ni ordonné ni prescrit, ce qui ne m’était point venu à la pensée. » C’est pourquoi voici, les jours viennent, dit l’Eternel (YHWH), où ce lieu ne sera plus appelé Topheth et vallée de Ben-Hinnom, mais où on l’appellera vallée du carnage. (Jér 19 :5-6). Le verset 6 lie la vallée de Tophet et de Hinnom à ce genre de sacrifices. Jérémie 7 :31 lie aussi la vallée de Tophet ou Hinnom aux sacrifices d’enfants. La signification de Tophet est « tambour – tambourin ». On faisait résonner les tambours afin d’étouffer les cris des victimes qui brûlaient dans les flammes.

    Prenez note de cette citation par John Milton, auteur du poème « Le Paradis Perdu », au sujet du terrible dieu Moloch : « D’abord s’avance Moloch, horrible roi, aspergé du sang des sacrifices humains et des larmes des pères et des mères, bien qu’à cause du bruit des tambours et des timbales retentissantes le cri de leurs enfants ne fût pas entendu lorsqu’il les passait par le feu devant cette sinistre idole. » Bien entendu, plusieurs diront qu’ils ne sacrifient pas leurs enfants à Moloch aujourd’hui, mais poursuivez. (Partout c’est nous qui traduisons).

    Dans le "Nouveau Testament" (?!), Étienne, le martyr, fut lapidé à mort, au moins en partie parce qu’il avait accusé ceux qui l’écoutaient de l’adoration de cette idole malveillante (Actes 7 :43).

    Lorsque le roi Josias, un juste, hérita du trône en tant que roi de Juda, il détruisit tous les autels de la vallée de Tophet (ou Hinnom — la même vallée que Yeshoua compara au feu de la géhenne dans Mc 9 :43-49) peu après avoir été couronné. Il avait réalisé tout le mal des pratiques qui se tenaient à cet endroit.



    Les druides et les sacrifices humains.

    Plusieurs ont entendu parler des druides. Peu savent qui ils étaient ou ce qu’ils étaient. Nous ferons allusion à eux plus bas et verrons ce qui les relie à certaines pratiques de Noël bien connues. Nous devons d’abord établir quel était leur rôle dans les sacrifices humains.

    Jules César est une des sources d’information les mieux connues sur les druides. Ce qui suit est tiré de l’Encyclopédie Britannique. Cette citation, sous la rubrique « Druides », explique clairement qui ils étaient :
    « Druides, la classe instruite des anciens Celtes, dont le nom signifie Connaître (ou Trouver le chêne). On dit qu’ils fréquentaient les forêts de chênes et agissaient en tant que prêtres, enseignants et juges. Les archives les plus anciennes au sujet des druides proviennent du troisième siècle av. "J.-C"…Les druides étaient en charge des sacrifices publics et privés et plusieurs jeunes hommes allaient vers eux pour être instruits. Ils jugeaient toutes les querelles privées et publiques et prononçaient les sentences…La principale doctrine des Druides était l’immortalité de l’âme…(ils) offraient des victimes humaines pour ceux qui étaient gravement malades ou en danger de mort dans les batailles. D’énormes paniers d’osier étaient remplis d’hommes vivants pour être ensuite brûlés. Bien que les druides choisissaient préférablement des criminels, ils sacrifiaient aussi des victimes innocentes, si nécessaire.

    "L’Ancien Testament" (selon les religieux pagano-chrétiens) est rempli de condamnations prononcées par Dieu-Elohim à l’endroit d’Israël pour avoir pratiqué les coutumes des nations qui les entouraient. Nous rassemblons des faits importants qui sont en train de révéler une image atroce.



    Le rôle du cannibalisme.

    Une autre vérité à propos de l’origine de Noël a rapport au mot moderne cannibale. Cette pratique a ses racines dans l’une des fonctions principales de tous les prêtres de Baal. Le mot hébreu pour « prêtre » est Cahn.

    Voyez maintenant la citation suivante tirée de l’ouvrage « Les Deux Babylones » d’Alexander Hislop, page 232. « C’était un des principes de la loi mosaïque, un principe qui découlait sans aucun doute de la foi des patriarches, que le prêtre devait partager tout ce qui était offert en tant que sacrifice d’expiation (Nombres 18 :9-10). Donc, les prêtres de Nimrod (Baal) avaient aussi l’obligation de manger les victimes des sacrifices humains, et c’est ainsi qu’est né le mot « Cahna-Bal », prêtre de Baal, dans notre propre langue pour désigner ceux qui mangent de la chair humaine. »

    Personne ne peut ignorer cette réalité. Il est également vrai que la plupart des civilisations possèdent une tradition qui inclut le cannibalisme. Voyez cette affirmation du New York Times. « Quelle est la signification du cannibalisme ? » par Erik Eckholm. Le cannibalisme a, par le passé, à la fois fasciné et repoussé virtuellement chaque société connue, incluant celles qui sont réputées l’avoir pratiqué. »

    Le même article poursuivait en démontrant que la plupart des civilisations attribuaient une signification divine à une telle pratique.



    Qu’en est-il du mythe du Père Noël ?

    https://www.facebook.com/notes/jean-yves-hamon/cest-bient%C3%B4t-la-saint-coca-cola-/334680906546438

    Avez-vous déjà pensé que vous pourriez être en train de faire passer vos enfants par le feu, les sacrifier, (d’une manière différente toutefois) en observant la fête de Noël, tout en essayant sincèrement de mettre
    « l’emphase sur le Messie Yeshoua » ?

    Les parents soutiennent qu’ils doivent observer tout le mythe de Noël à cause de leurs enfants ! Les traditions de Noël se concentrent principalement sur les enfants qui deviennent le centre de pratiquement tout ce qui se déroule. Je le sais car j’ai fêté dix-sept Noël. Ma sœur aînée, mon jeune frère et moi recevions beaucoup et donnions très peu à cette occasion, et tout commençait par le mensonge à propos du Père Noël.

    Il y a de cela quelques années, un prêtre du New-Jersey dit aux élèves de sa classe du dimanche que le Père Noël était un mythe. L’indignation des parents et de ses superviseurs fut instantanée. Il venait de « tuer le Père Noël ». Il avait « détruit la tradition familiale » ! Il avait « usurpé l’autorité familiale, » disait l’article. Il fut censuré par ses supérieurs pour avoir été « trop zélé et insensible. »

    Son crime ? Avoir dit la vérité !

    Selon « l’Encyclopedia of World History » de Langer (article Santa), le nom de ce personnage était un surnom commun de Nimrod en Asie mineure. C’était aussi le même dieu du feu qui descendait dans les cheminées chez les anciens païens et le même dieu du feu pour qui des enfants étaient brûlés et mangés lors des sacrifices humains pratiqués par ceux qui jadis avaient été le peuple de Dieu-Elohim.

    Aujourd’hui le nom de Santa Claus vient de « Saint Nicolas ». En 1809, Washington Irving fut responsable d’avoir transformé le sévère et vieil évêque original en un nouveau et « joyeux St-Nick » dans son Knickerbocker History of New York. (La plupart des traditions de Noël de l’Amérique sont encore plus récentes que cela). L’expression anglaise « Old Nick », que l’on retrouve d’ailleurs dans le dictionnaire, est depuis longtemps reconnue comme un surnom du diable.

    La véritable origine de NOËL

    Dans Apocalypse 2 :6 et 15, la Bible traite du sujet de la « doctrine des Nicolaïtes ». à propos de laquelle le Messie Yeshoua dit qu’il la hait. Analysons le terme Nicolaïtes. Cela signifie « disciple de Nicolas ». Nikos signifie « conquérant, destructeur ». Laos signifie « peuple ». Les Nicolaïtes sont donc ceux qui suivent le conquérant ou destructeur — Nimrod. Si jamais vous aviez cru qu’observer Noël est une coutume "chrétienne" sans conséquence, alors permettez à ces vérités de s’imprégner dans votre esprit.



    Les Écritures permettent-elles les échanges de cadeaux ?

    Les marchands disent régulièrement que 60% de leur chiffre d’affaires se réalisent pendant la saison de Noël. Cela représente l’achat d’un nombre extraordinaire de cadeaux. Plusieurs croient que la coutume de donner des cadeaux provient de l’exemple des « trois rois mages » (la Bible ne dit pas combien ils étaient) faisant des dons au Messie. Est-ce bien vrai ? D’où vient cette coutume, et qu’en dit la Bible ?

    La Bibliotheca Sacra, volume 12, pages 153-155, dit : « L’échange de présents entre amis est une caractéristique de Noël et des saturnales, et a du être adopté des païens par les chrétiens comme le montre clairement l’avertissement de Tertullien. »

    Comme tout autre aspect de Noël, la vérité brutale est que même cette soi-disant coutume "chrétienne" ne vient pas de la Bible. Ironiquement, les gens aiment croire qu’ils suivent l’exemple des rois mages faisant des présents au Messie Yeshoua alors qu’en fait, ils se donnent des cadeaux  presqu’exclusivement l’un à l’autre ! Quelle hypocrisie ! Le Messie est complètement oublié.

    En fait la Bible enseigne que les "chrétiens" ne doivent pas observer les anniversaires de naissance (en réalité, ce sont les "disciples de Yeshoua" qui n'observent pas les anniversaires puisque les "chrétiens" sont tenus de le faire depuis des siècles). Plusieurs passages illustrent ce principe clairement. (Lisez notre article « Les anniversaires de naissance sont-ils des célébrations chrétiennes ? ») Que penseriez-vous si vous aviez été invité pour fêter votre anniversaire et, qu’une fois sur place, vous constatiez que tous s’échangent des cadeaux sans se préoccuper de vous ? Cela semblerait plutôt ridicule ! Si cela arrivait vous diriez que les gens sont égoïstes en vous oubliant de la sorte. La vérité est que la plupart des gens font des cadeaux aux autres à Noël simplement parce qu’ils s’attendent à en recevoir eux-mêmes !

    Retournons brièvement aux « rois mages » qui ont fait des présents au Messie Yeshoua. Les passages qui décrivent cela se retrouvent dans Matthieu 2 : 1-11. « Yeshoua étant né à Bethléhem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d’Orient arrivèrent à Jérusalem, et dirent : Où est le roi des Juifs qui "vient de naître" ? (Toutefois, Yeshoua était né depuis déjà environ 2 ans, Mat 2:16)… Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent ; ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. »

    On croit d’une façon générale que ces présents étaient des cadeaux d’anniversaire pour « l’enfant Yeshoua ».
    Mais est-ce bien ce que la Bible dit ? Absolument pas ! En premier lieu, on doit noter qu’ils ont donné les présents à Yeshoua. Ils ne se tenaient pas devant lui en s’échangeant des cadeaux ou en en donnant à d’autres.
    Les présents Lui furent donnés. De plus, ils arrivèrent bien après son
    « anniversaire de naissance ». Ceci est une raison supplémentaire pour laquelle ce ne pouvait être des « cadeaux d’anniversaire. »

    Une des plus anciennes coutumes de l’Orient est d’offrir des cadeaux lorsque quelqu’un se retrouve en présence d’un roi. Ces personnes savaient qu’elles étaient en présence du « Roi des Juifs ». La Bible cite plusieurs exemples de personnes envoyant des cadeaux aux rois ou leur remettant en arrivant en leur présence. C’est une coutume courante de nos jours lorsqu’un ambassadeur ou d’autres personnes se retrouvent en présence d’un dirigeant du monde.
    Note JYH: C'est pour la même raison qu'ils se sont "prosternés"... ce qui n'a rien à voir avec l'adoration d'un "Jésus-Dieu".

    En dernier lieu, notez ce que dit le « Adam Clarke Commentary » volume 5, p. 46, à propos de ce qui s’est réellement passé à cette occasion : « Verset 11. Ils Lui offrirent [des présents].Les gens de l’Orient n’approchent jamais des rois ou des personnages de renom sans avoir un présent dans leurs mains. On peut souvent remarquer cette coutume dans l’Ancien Testament, et elle a toujours cours en orient de nos jours ainsi que dans certaines îles nouvellement découvertes des mers du sud. » Des présents étaient couramment faits aux rois.

    Quoi de plus simple ?



    L’origine de l’arbre de Noël

    Aucune brochure au sujet de Noël ne serait complète sans une explication à propos de « l’arbre de Noël ». Jusqu’à maintenant nous n’avons qu’effleurer le sujet. L’arbre de Noël moderne a eu son origine en Allemagne. Mais les Allemands l’ont eu des Romains qui, eux, l’ont eu des Babyloniens et des Égyptiens.

    Ce qui suit démontre ce que les Babyloniens croyaient à propos de l’Origine de l’arbre de Noël : « Une vieille fable babylonienne parle d’un arbre
    « toujours vert » qui était sorti de la souche d’un arbre mort
    . La souche était le symbole de Nimrod, mort, le nouvel arbre symbolisait Nimrod revenu à la vie en la personne de Thammuz ! Chez les druides, le chêne était sacré, chez les Égyptiens c’était le palmier, etchez les Romains c’était le sapin que l’on décorait avec des fruits rouges pendant les saturnales ! (WalshCuriosities of Popular Customs, p. 242).

    Le livre de Frederick J. Haskins intitulé « Answers to Questions dit :
    « L’arbre de Noël provient d’Égypte et son origine date d’une période bien antérieure à l’ère de Noël ». Saviez-vous cela… que l’arbre de Noël a précédé de longtemps le "christianisme" moderne ?

    La véritable origine de NOËL

    La majorité des coutumes de Noël ne sont pas mentionnées dans la Bible. La raison principale étant, bien entendu, qu’elles ne viennent pas de Dieu-Elohim. Elles ne font pas partie de la façon dont Il veut que les gens L’adorent. L’arbre de Noël par contre est directement mentionné dans la Bible ! Lisez Jérémie 10 :2-5 : « Ainsi parle l’Eternel (YHWH) : N’imitez pas la voie des nationsCar les COUTUMES des peuples ne sont que VANITE. On coupe le bois [l’arbre] dans la forêt ; la main de l’ouvrier le travaille avec la hache ; on l’embellit avec de l’argent et de l’or, on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu’il ne branle pas. Ces dieux sont comme une colonne massive [un palmier], et ils ne parlent point ; on les porte, parce qu’ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas (comme dieu), car ils ne sauraient faire aucun mal, et ils sont incapables de faire du bien. »

    C’est une description de l’arbre de Noël moderne. Dieu-Elohim y réfère en disant « la voie des nations ». D’une manière aussi directe, il commande à Son peuple de ne pas « [imiter] … la voie des nations ». Il dit que ces coutumes ne sont que « vanité ». Le verset 23 affirme d’une façon remarquable et puissante : « Je le sais, Ô Eternel ! La voie de l’homme n’est pas en son pouvoir ; Ce n’est pas à l’homme, quand il marche, à diriger ses [propres] pas. » Dieu-Elohim doit enseigner aux gens la façon de vivre. Ils ne sont pas capables de comprendre par eux-mêmes ce qu’il faut faire.

    Le 10e chapitre de Jérémie ne permet pas de croire, comme certains ont voulu le suggérer parce qu’il est dit qu’ils ne sauraient faire mal, que ce ne soit pas vraiment défendu d’avoir un arbre de Noël. Dieu condamne l’élévation d’arbres (de Noël) païens en l’ordonnant clairement !




    L’origine des couronnes, de la bûche et du gui.

    L’Encyclopedia Americana dit : « Le houx, le gui, la bûche de Noël…sont des vestiges de l’ère pré-chrétienne. » Autrement dit, du paganisme ! La bûche (de Noël) faisait partie d’un rite Teuton d’adoration de la nature.

    Le livre de Frederick J. Haskins ajoute : « Les autorités croient que l’utilisation des couronnes de Noël tire leur origine des coutumes païennes de décoration d’édifices et des endroits de culte pendant la fête qui se tenait pendant la même période que Noël. »

    L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Celastrales », révèle l’origine des couronnes : « Les païens d’Europe apportaient dans leurs demeures des gerbes, offrant ainsi aux êtres féériques des bois un refuge pendant la dure période hivernale. Pendant les saturnales, la fête hivernale romaine, des branches de houx étaient échangées en gage d’amitié. Les premiers "chrétiens" romains auraient apparemment utilisé le houx en tant que décoration pendant la période de Noël. »

    Il existe des douzaines de types de houx. Presque tous se présentent sous une variété mâle oufemelle comme la « Blue Prince et Blue Princess », ou la « Blue Boy et la Blue Girl » ou la « China Boy et China Girl ». Les plantes de houx femelles ne peuvent porter de fruits à moins qu’un plant mâle à proximité les ait pollenisées. Il est aisé de voir pourquoi la couronne de houx a été adoptée dans les rituels païens en tant que signe d’amitié et de FERTILITÉ !

    Noël ne serait pas complet pour certains à moins d’échanger « un baiser sous le gui ». Cette coutume païenne allait de soi lors d’une nuit de festivités tenue dans un esprit d’ivrognerie. Tout comme aujourd’hui, les « baisers » étaient échangés au tout début des célébrations des saturnales, ou, de nos jours, de Noël. Je n’oublierai jamais l’obligation à laquelle j’étais tenu d’embrasser la mère de mes amis en entrant dans chacune de leur maison le jour de Noël. C’était la première chose que nous faisions. Je détestais cela, mais c’était quelque chose qu’il « fallait faire » ! Le gui était supposé avoir des pouvoirs de guérison spéciaux pour ceux qui « s’amusaient » en dessous.

    L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Santalales » dit : Le gui européen est supposé avoir eu une signification rituelle spéciale lors des cérémonies druidiques et possède toujours, dans le folklore d’aujourd’hui, un statut particulier, en tant que gui de Noël, qui nous vient du temps des Anglo-Saxons ». Le gui est un parasite qui vit sur le chêne. (Rappelez-vous que les druides adoraient les bocages de chênes). Les anciens Celtes (associés aux druides) avaient pour habitude de donner du gui en tant que remède aux animaux stériles afin de les rendre fertiles. Sa signification en langue celte est toujours : « la plante qui guérit tout ».

    La véritable origine de NOËL

    Tout comme le gui, les fruits de houx étaient considérés sacrés pour le dieu soleil. La « bûche du soleil » originelle (sun log) en est venue à être appelée la bûche de Noël (yule log) simplement parce que le mot « Yule » (bûche) signifie « roue », symbole païen qui depuis longtemps représente le soleil.

    Quelle que soit la culture, l’origine de la fête est la même. Seuls certains symboles diffèrent selon les cultures. Voici ce que dit l’Encyclopedia Universalis au sujet de Noël : « Fête solennelle de la naissance de Jésus-Christ (Yeshoua le Mashiah), Noël est célébré le 25 décembre dans toutes les Églises "chrétiennes" depuis le IVe siècle. À cette époque, cette date était alors celle de la fête païenne du solstice d’hiver appelé « Naissance (en latin, Natale) du soleil », car celui-ci semble reprendre vie lorsque les jours s’allongent… ». (« Natale » est la racine du mot Noël).



    Mélanger l’adoration du vrai Dieu-Elohim et les fausses pratiques.

    Le mot moderne pour expliquer le mélange de fausses pratiques païennes et l’adoration du vrai Dieu-Elohim est "syncrétisme". Quiconque faisait une telle chose dans l’ancien Israël était mis à mort (Lévitique 18 :21, 29) ! C’était très sérieux !
    Note JYH: Les "sanctions pénales" (lapidation, sacrifices) ont été provisoirement remplacées par le sacrifice parfait de Yeshoua mais la "Loi" (Torah) demeure et les "peines" (de mort par exemple) sont repoussées au jour du Jugement en cas de non repentance.

    II Rois 17 :33 nous donne un aperçu de la façon dont la nation d’Israël pensait et croyait, dans son esprit, adorer YHWH-Adonaï : « Ainsi ils craignaient l’Eternel (YHWH), et ils servaient leurs dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés. »

    Avez-vous bien saisi ceci ? Oui, ils craignaient Dieu-Elohim pendant qu’ils servaient d’autres dieux. Pas étonnant que le verset qui suit immédiatement (34), dise qu’en réalité «, « ils ne craignent POINT l’Eternel (YHWH) » selon la voie qu’il a prescrite. Voilà la façon dont Dieu-Elohim voit les gens se comporter aujourd’hui, malgré tout ce qu’ils peuvent penser de leurs actions en copiant d’anciennes pratiques païennes !

    Le verset 30 dit que tout cela avait été appris au contact des « gens de Babylone » (parmi d’autres) dont le dieu principal, nous nous en souviendrons, était Nimrod, — Baal ou Moloch —, qui nous le savons maintenant, était la même personne.

    Constatez jusqu’à quel point l’avertissement de Dieu-Elohim est spécifique dans Deutéronome 12 :29-31, et la raison pour laquelle Il les avertissait !
    « Lorsque l’Eternel (YHWH), ton Dieu (Elohim), aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi… et que tu te seras établi dans leur pays, garde-toi de te laisser prendre au piège en les imitant, après qu’elles auront été détruites devant toi. Garde-toi de t’informer de leurs dieux et de dire : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux Moi aussi, je veux faire de même. Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Eternel (YHWH), ton Dieu (Elohim); car elles servaient leurs dieux en faisant TOUTES LES ABOMINATIONS qui sont odieuses à l’Eternel, et même elles brûlaient au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux. »

    Plusieurs autres versets, semblables à Deutéronome 12, devraient être étudiés. Voyez Exode 34 :10-17 ; 23 :23-33 ; Lévitique 20 :22-26 ; Deutéronome 20 :13-18, etc. Le véritable Dieu-Elohim savait que servir d’autres dieux menait toujours à leur sacrifier les enfants !

    Deutéronome 12 :32 dit clairement que Dieu-Elohim ne veut pas que nous mélangions Ses voies avec quelque fausse voie. « Vous observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne ; vous n’y ajouterez rien, et vous n’en retrancherez rien. »

    Voilà les PAROLES CLAIRES que Dieu-Elohim adresse à tous ceux qui disent qu’ils peuvent mélanger les coutumes horribles du paganisme tout en conservant « l’emphase sur le Messie. »



    Les pratiques païennes de l’ancien Israël dans les coutumes modernes.

    Deutéronome 12 :2-4 précise un contexte important. Dieu-Elohim y dit clairement : « Vous détruirez tous les lieux où les nations que vous allez chasser servent leurs dieux, sur les hautes montagnes, sur les collines, et sous tout arbre vert. … vous brûlerez au feu leurs idoles [bocages], … Vous n’agirez pas ainsi à l’égard de l’Eternel (YHWH), votre Dieu (Elohim). »

    Veuillez prendre note des références aux « arbres verts » et aux
    « bocages ». Il y a au-moins dix versets semblables dans "l’Ancien Testament" (des religieux) mentionnant les "arbres verts" en association avec l’idolâtrie. Les historiens croient que le terme « vert » se réfère à ce qui demeure vert toute l’année, autrement dit, les arbres à feuilles persistantes !

    À nouveau, examinons encore de près l’histoire et l’origine de quelques coutumes des saturnales encore pratiquées aujourd’hui. Voici une citation à donner le frisson et qui provient du Dictionary of Greek and Roman Antiquities, « Oscilla », 3e édition, volume II. « …tous s’appliquaient à fêter et à être joyeux, des présents étaient échangés entre amis, les foules remplissaient les rues en criant : « Voilà les saturnales ». Selon le poète païen Virgil, une offrande était présentée sous un arbre vert décoré. Des figurines et des masques, appelés oscilla, étaient suspendues dans l’arbre, tout comme dans les arbres de Noël d’aujourd’hui. L’histoire admet…qu’il n’y a aucun doute que ces oscilla représentassent les vestiges de sacrifices humains… » (A noter qu'il y a de nombreux décès pendant cette période, par accidents mais aussi par suicides... et que les pays pagano-chrétiens ont adopté "l'avortement" !)

    Est-ce que toutes ces choses vous semblent familières ? Des cadeaux, des chants dans les rues, des arbres verts, des décorations, des offrandes au pied de l’arbre, des réjouissances, festoyer. Elles peuvent sembler merveilleuses mais elles représentent des choses vraiment horribles.

    Les oscilla modernes ressemblent à de petits « anges » joufflus lorsqu’ils sont suspendus dans l’arbre. Quand j’étais jeune, je plaçais ces petits « bébés anges » dans l’arbre moi-même. Du moins je croyaisqu’ils étaient des « bébés anges ». Quelle erreur je faisais ! Pensez-vous que quiconque parmi vos connaissances se rend compte de ce qu’ils sont ? Bien sûr que non — mais cela n’enlève pas le sérieux de la chose ni ne les rend moins mal aux yeux de Dieu-Elohim !

    Un paganisme flagrant dans l’Église.

    Une autre source permet de démontrer comment tout ceci en est venu à faire partie des coutumes observées « innocemment » par des millions de personnes — tout en étant loin d’être « innocent » aux yeux de Dieu-Elohim. Lisez maintenant la citation de l’Encyclopédie Britannique, 15è édition, volume 10, pages 1062-63 : « La "chrétienté"…par un processus complexe et graduel…devint la religion officielle de l’empire (romain).

    Pendant un certain temps, les pièces de monnaies ainsi que d’autres monuments continuèrent de lier les doctrines chrétiennes avec l’adoration du soleil, pratique à laquelle Constantin s’était adonné auparavant. Mais même après cette période, le paganisme romain continua d’exercer d’autres influences permanentes, petites et grandes. Le calendrier ecclésiastique a conservé un grand nombre de souvenirs des festivals pré-chrétiens, notamment Noël, qui inclut un mélange d’éléments des saturnales et de l’anniversaire de Mithra. Mais plus encore, le branche dominante de la chrétienté occidentale doit à la Rome ancienne sa discipline qui a été le garant de sa forme et de sa stabilité

    Une autorité aussi réputée que l’Encyclopédie Britannique qui admet, pour tous ceux qui voudront bien le lire, que ce sont les saturnales et la Rome ancienne qui ont défini la « discipline, la stabilité et la forme » de la "chrétienté" occidentale !

    Ceci est une admission pour le moins renversante !

    Voici une autre citation très forte, sous la rubrique « Christmas » du New Schaff-Herzog Encyclopedia of Religious Knowledge, qui révèle la façon dont ce festival idolâtre et païen s’est infiltré dans le monde « chrétien ». (Partout dans le texte, c’est nous qui traduisons).

    « À savoir jusqu’à quel point la date du festival dépendait de la fête de Brumalia (25 décembre), qui suivait immédiatement les saturnales (17 au 24 décembre) et, qui célébrait le jour le plus court de l’année et fêtait le « soleil nouveau »…ne peut être déterminé avec précision. Les saturnales et la fête de Brumalia étaient trop profondément implantées dans les coutumes populaires pour être mis de côté par l’influence "chrétienne"…Le festival païen avec ses réjouissances et ses émeutes était si populaire que les "chrétiens" du temps furent heureux d’avoir une excuse leur permettant de continuer sa célébration avec peu de changement dans l’esprit de la fête comme dans la façon de la célébrer. Les prédicateurs chrétiens de l’Ouest et du Proche-Orient ont protesté contre cette frivolité déplacée avec laquelle l’anniversaire de la naissance du Mashiah était célébré, alors que les chrétiens de Mésopotamie accusèrent leurs frères de l’ouest d’idolâtrie et d’adoration du soleil parce qu’ils avaient accepté comme chrétien ce festival païen. »

    Une source additionnelle révèle comment l’église romaine a absorbé Noël en tant que célébration officielle. L’Encyclopédie Britannique, édition 1946, dit : « Noël ne faisait pas partie des premiers festivals de l’église…Certains Latins, aussi tôt qu’en 354, ont peut-être transféré l’anniversaire du 6 janvier au 25 décembre qui était alors une fête mithriaque…ou l’anniversaire du SOLEIL invincible…Les Syriens et les Arméniens, qui retinrent le 6 janvier, accusent les Romains d’adoration du soleil et d’idolâtrie, soutenant…que la fête du 25 décembre avait été inventée par les disciples de Cérinthus… »

    C’est de cette façon qu’un festival païen, célébré longtemps avant la naissance du Messie Yeshoua, fit son chemin jusque dans la chrétienté reconnue.

    La véritable origine de NOËL

    Saviez-vous qu’au dix-septième siècle, même les Puritains de la Nouvelle-Angleterre savaient à quel point Noël était mauvais ? Ils en ont défendu l’observance par une loi, en 1659, dans toute la colonie de la Baie de Massachussets. C eux qui l’observaient étaient passibles d’amendes et de la prison. Cela prit 200 ans (1856) avant que les gens cessent de travailler le jour de Noël à Boston. Les Puritains en connaissaient l’origine et la considéraient comme « païenne et comme une fête papiste idolâtre ».



    Ceux qui changent les temps et la Loi.

    Le prophète Daniel (7 :8) parle d’une « petite corne » à propos de laquelle le verset 25 du même chapitre dit « …prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ». Cette petite corne est une grande autorité religieuse qui tente d’imposer sa propre conception des dates et des célébrations sur un monde sans méfiance en remplacement des instructions claires de Dieu-Elohim.

    Le mot hébreu utilisé pour « changer » signifie « transformer, altérer ou fixer ». Le mot traduit par « temps » signifie « occasions désignées, époques, moments ». Le mot hébreu traduit par « loi » signifie « décrets ou loi de Dieu-Elohim ». Cette phrase fait référence à une autorité qui tente de transformer des occasions désignées et des époques définies dans la loi de Dieu-Elohim. Noël est certainement un exemple important qui illustre comment une telle chose a été faite. Les instructions de Dieu-Elohim ont été remplacées par les traditions des hommes.

    La citation suivante révèle comment cela s’est produit. Elle provient également de l’Encyclopédie Britannique sous la rubrique « Christianisme ».
    « Ainsi, la liturgie de Pâques a été développée davantage dans l’Église orthodoxe d’orient, et celle de Noël davantage dans l’Église catholique romaine…Le calendrier chrétien est une des institutions chrétiennes les plus répandues. La semaine de sept jours et le rythme des festivals chrétiens ont été acceptés même par les pays les moins chrétiens. Malgré de nombreuses tentatives énergiques d’introduire des semaines de travail variables, la semaine de sept jours avec le dimanche de congé n’a pu être éliminée même dans les pays communistes ayant une vue athée du monde. Même dans les cercles et organisations athées du monde, les fêtes chrétiennes jouissent d’une popularité incontestée en tant que jours de congé, spécialement Noël. »

    En vérité, ce sont les « politiciens ecclésiastiques » auxquels nous avons fait référence plus tôt qui ont cherché à imposer le calendrier « chrétien » moderne à un monde inconscient. Ce sont ces « leaders » qui ont « pensé changer les temps et la loi. »



    Le dangereux pouvoir des mensonges.

    Un des noms de Satan est Destructeur (Apocalypse 9 :11). Nimrod-Saturne-Moloch-Baal, tout comme Satan, est un dieu du feu qui détruit et dévore nos petits enfants.

    Le vrai Yeshoua Ha Mashiah n’a jamais été et ne sera jamais « dans » Noël ! On ne peut Le remettre là où Il n’a jamais été. Le « dieu de ce siècle », Satan (II Cor 4 :4) a toujours été dans Noël. Il en est l’auteur !

    Le vrai Dieu-Elohim (en tant que "Père") nous commande de l’adorer « en esprit et en vérité » (Jn 4 :23-24). Cela ne cadre pas avec le grand mensonge de Noël et du Père Noël que tous les enfants croient si volontiers.

    I Tim 4 :2 avertit ceux qui « enseignent hypocritement des faussetés », « portant la marque de la flétrissure (grec : cautériser) dans leur propre conscience ». Les parents peuvent « brûler » leurs propres enfants, leur laissant une profonde cicatrice, avec la supercherie et le mensonge de Noël !

    On ne peut donner l’excuse du grand nombre de personnes qui observent Noël car Satan, qui est appelé « père du mensonge » et « meurtrier dès le commencement » (Jn 8 :44), « a séduit toute la Terre » (Apoc 12 :9) ! Trouvez et lisez ce verset. Et reconnaissez aussi le fait que Noël est sans contredit un témoignage de cette grande séduction.

    Par contre le Mashiah (Christos pour les grecs) fait référence à Son Église en tant que « petit troupeau », (Lc 12 :32). Plusieurs autres versets illustrent aussi cela. Cette Église ne possède pas un grand nombre de fidèles comme les grandes dénominations chrétiennes bien établies de ce monde.



    Que devriez-vous faire ?

    Finalement, examinons ce que Dieu-Elohim dit à Son peuple de faire et comment il devrait éduquer ses enfants.

    Rappelez-vous Jérémie 7 :31 qui rapporte la condamnation d’Israël par Dieu-Elohim pour avoir brûlé leurs enfants dans la vallée de Tophet. Huit versets plus tôt, Dieu-Elohim avait clairement dit ce qu’Il exigeait : « Mais voici l’ordre que je leur ai donné : Ecoutez ma voix, et je serai votre Dieu-Elohim, et vous serez mon peuple ; marchez dans toutes les voies que je vous prescris, afin que vous soyez heureux. Et ils n’ont point écouté… Ils ont suivi … les penchants de leur mauvais cœur »

    Les êtres humains ne veulent pas obéir à Dieu-Elohim (Romains 8 :7). Ils préfèrent suivrent leurs propres « penchants ». Ils ne comprennent pas que Dieu-Elohim veut que leur vie se déroule « bien ». Il veut que le bonheur, la joie et les bénédictions coulent dans leur vie. Toutes ces choses seraient le résultat d’une telle obéissance.

    YHWH-Adonaï notre Elohim a inspiré Moïse afin qu’il prévienne les parents de la sérieuse responsabilité qu’ils doivent assumer dans la façon d’éduquer leurs enfants. Remarquez les instructions données dans Deutéronome 6 :1, 6-7, 20-21, 25 : « Voici les commandements… que l’Eternel (YHWH), votre Dieu (Elohim), a commandé de vous enseigner, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession… Et ces commandements, que je te donne aujourd’hui, seront dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes enfants, et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras… Lorsque ton fils te demandera un jour : Que signifient ces préceptes, ces lois et ces ordonnances, que l’Eternel (YHWH), notre Dieu (Elohim), vous a prescrits ? tu diras à ton fils : Nous étions esclaves de Pharaon en Egypte, et l’Eternel nous a fait sortir de l’Egypte par sa main puissante. Nous aurons la justice en partage, si nous mettons soigneusement en pratique tous ces commandements devant l’Eternel (YHWH), notre Dieu (Elohim), comme il nous l’a ordonné. »

    Dieu-Elohim délivra Israël d’Égypte —de l’esclavage — des coutumes du monde qui les entouraient et Il leur a révélé Sa Loi. Il ne veut pas que Son peuple retourne aux traditions, coutumes et façons dont Il les a délivrés.

    Lorsque toutes ces traditions, truffées de symbolisme d’adoration des anciens dieux païens, inventés par les hommes, sont enseignées, cela ne constitue pas de l’adoration envers le vrai Créateur.



    Nous ne savions pas que Noël provenait de Babylone.

    À deux reprises dans Matth 7 :16 et 20, Yeshoua a dit : « Vous les reconnaîtrez à leurs fruits ». Tout ce que les gens font ou disent de bien ou de mauvais produit des fruits. Les fruits de Noël sont terribles. Cette période est celle pendant laquelle domine l’adultère, la solitude, la jalousie, l’ivrognerie et la conduite dangereuse au volant, les controverses familiales (et pire), sans compter les dettes qui s’accumulent et ne peuvent parfois pas être payées avant le mois de mars. Ce problème est si important que toutes les "églises" (dénominationnelles) rapportent que leur revenu, ironiquement, chute pendant cette période alors que les gens « récupèrent » de toutes leurs dépenses.



    Le véritable « esprit de Noël ».

    Le prophète Ésaïe fut inspiré d’écrire, « Crie à plein gosier, ne te retiens pas, élève ta voix comme une trompette, et annonce à mon peuple ses iniquités, à la maison de Jacob ses péchés ! » (És 58 :1). C’est ce que je viens de faire. Vous venez de lire la vérité au sujet de l’Origine réelle de Noël. Que ferez-vous ?

    La citation qui suit provient de la brochure intitulée « La simple vérité au sujet de Noël », écrite par M. Herbert W. Armstrong (qui n'est toutefois pas "disciple de Yeshoua"). Elle résume la brochure que vous venez de lire.

    « Noël est devenue une saison commerciale. Cette fête est financée, exploitée, maintenue en vogue par un déploiement inouï de campagnes publicitaires les plus intenses de l’année…[où] vous voyez un Père Noël de mascarade dans plusieurs magasins. Des flots de réclames nous tiennent en haleine et nous trompent sur le « merveilleux esprit de Noël ». La presse, qui vend les annonces, imprime des éditoriaux flatteurs, en langage fleuri, exaltant la saison païenne, et son « esprit ». Un public crédule en est tellement inoculé, que beaucoup s’offensent quand on leur dit la vérité ! Ainsi se crée, année après année, « l’esprit de Noël », non point pour honorer le Mashiah mais pour vendre des marchandises. C’est caractéristique de toutes les mystifications de Satan qui se donne les apparences d’un « ange de lumière » et se montre sous un faux aspect de bonté ! Chaque année cette débauche commerciale effrénée engloutit des sommes qui se chiffrent par milliards de dollars et pendant ce temps l’œuvre du Messie en souffre. Cela fait partie du système économique de Babylone !

    Nous avons proclamé être une nation "chrétienne" mais nous vivons dans Babylone tel que prophétisé dans la Bible ; et nous ne nous en rendons pas compte : « Sortez du milieu d’elle mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayiez point part à ses fléaux » — maintenant près de sévir — tel est l’avertissement qui nous est adressé dans Apocalypse 18 :4. 

    Voir aussi: http://jyhamon.eklablog.com/noel-et-babylone-a59353919

     



    JYH
    d'après
    : http://rcg.org/fr/brochures/ttooc-fr.html ... qui n'est malgré tout qu'une "dénomination" dont je n'approuve pas tous les autres écrits et dont j'ai dû modifier ici les trop fréquentes références au "faux dieu-Deus" et au "faux Jésus-Iesou" ou "christos".

    (Copie autorisée et même souhaitable, à condition d'en redonner le texte intégral et les sources)

     


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