• A propos du (faux) nom de "Jésus-Christ"

     

    A propos du (faux) nom de "Jésus-Christ"

    Attention à cette photo-dessin: la pyramide avec "oeil (lumineux) qui voit tout", et qui est placée au dessus de "l'Arche" (ou dedans), est associée à toutes sortes d'occultismes nauséabonds. Ne retenir que les "NOMS".





    Article
    excellent et vraiment réjouissant compte tenu de tout ce qui a déjà été dit ici.



    A propos du nom de Jésus Christ
    http://messianisme.over-blog.com/article-31012766-6.html#anchorComment



    La Bible déclare clairement ceci : « Il n’y a de salut en aucun autre ; car sous le ciel il n’y a pas un autre Nom qui ait été donné aux hommes par lequel nous devions être sauvés. » (Ac.4, 12 – extrait de la version Ostervald 1744 révisée de 1996). De même, il est écrit dans la lettre aux romains : « Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. » (Rom.10, 13 repris de Joël 2:32 – extrait de la version Ostervald 1744 révisée de 1996).

     

    Si je pose la question de savoir quel était ce "nom", j’entendrai un grand nombre scander en chœur : Jésus-Christ. Bien noté ! Mais dans ce passage se rapportant au discours que fit Shaoul devant Agrippa, à propos de sa conversion, un fait particulier attire notre attention : Shaoul entendit une voix lui parler en langue hébraïque :

     

    « Je vis ô roi, en chemin vers le milieu du jour, une lumière du ciel, plus éclatante que le soleil, et qui resplendit autour de moi et de ceux qui m’accompagnaient. Et étant tous tombés par terre, j’entendis une voix qui me parlait, et me disait, en langue hébraïque : Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? (…) Alors je dis : Qui es-tu, Seigneur ? Et il me répondit : Je suis Jésus, que tu persécutes » (Ac.26, 14-15 -Extrait de la version Ostervald 1744 révisée de 1996).

     

    Pensez-vous sincèrement qu’en langue hébraïque, le Seigneur aurait pu dire : Saul au lieu de "Shaoul". Ou dire encore : je suis Jésus, forme francisée du grec "Ièsus" au lieu de "Iéshoua" ? Le nom Jésus, que l’on retrouve dans les toutes versions de la bible, sauf dans la Chouraqui, n’est pas la traduction du nom Iéshoua.

     

    IESHOUA s'écrit de la droite vers la gauche : EWSY. YOD « Y », avec deux points-voyelles pour prononcer " Ié ".SHIN « S », avec un point à droite se prononce CH. VAV « W » se prononce de deux manières soit "V" soit " OU ". AYIN « E » se prononce le plus souvent " A ". Iéshoua signifie littéralement « IHVH SHOUA», soit « Yah sauve ».Dans la bible hébraïque, le Tout-Puissant est désigné sous les noms de El – qui peut prendre les formes de Eloha, Elohîms – d’Adonaï (Seigneur) et de YHWH, abrégé parfois en Yah, Yahou ou Hashem (qui signifie "le Nom"). 
    Le vocable SHOUA vient de la racine du mot hébreu « Shoua » qui signifie : sauver, salut, sauveur.

     

    Les composants des noms hébreux, on l’a dit, sont toujours savamment dosés, d’une manière précise et sont en outre doublés d’une valeur numérique. L’Ancien Pacte nous démontre explicitement, et par plusieurs exemples d’ailleurs, l’importance du nom dans la culture hébraïque. Comme par exemple dans le cas Noah : « Lèmèkh vit cent quatre-vingt-deux ans et fait enfanter un fils. Il crie son nom, Noah, pour dire : Celui-ci nous réconfortera de notre fait et de la peine de nos mains par la glèbe (la terre) que IHVH-Adonaï a honnie. » (Ent.5, 28-29).

     

    Ou ici dans le cas d’Abraham et de sa femme Sara : « Ton nom ne sera plus crié Abrâm : ton nom est Abrahâm ­ père d’une multitude : oui, je t’ai donné en père d’une foule de peuples (…) Elohîms dit à Abrahâm:
    « Saraï, ta femme, tu ne crieras pas son nom Saraï ­ ma princesse ­ oui, son nom est: Sara ­ princesse. Je la bénis. D’elle je te donnerai aussi un fils. Je la bénis, elle est en nations, des rois de peuples seront d’elle.»
     (Ent.17, 5 ; 15-16).

     

    Ou encore cet épisode particulier de la vie de Iaacob :« Ton nom ne se dira plus Ia‘acob, mais Israël ­ Lutteur d’Él : oui, tu as lutté avec Elohîms et avec les hommes, et tu as pu. » (Ent.32, 29). Juste pour ne citer que ceux là !

     

    Tout changement de nom d’une personne ou d’un lieu dans la bible induit forcément une nouvelle destinée prophétique. D’où leur notification. Il ne peut donc y avoir modification de nom sans conséquences certaines. Or, dans presque toutes les versions occidentales de la bible, excepté la traduction de Chouraqui, le lecteur est privé du droit fondamental de connaître le seul et véritable nom, qui ait été donné sous le ciel par lequel nous devions être sauvés. De même, dans presque toutes les traductions françaises, le nom hébreu Iéshoua a été remplacé par Jésus, sans justifications scripturaires. Ce qui est tout de même anormal ! Mais me dira-t-on, est-ce si grave et si dramatique ? Cela ne revient-il pas au même ? Loin s’en faut !

     

    Le nom du Mashiah est loin d’être un nom quelconque. Il a été révélé à Miriam, sa mère biologique, par un messager en l’occurrence Gabriel : « Le messager lui dit: Ne frémis pas, Miriâm ! Oui, tu as trouvé chérissement auprès d’Elohîms. Voici, tu concevras dans ta matrice et enfanteras un fils. Tu crieras son nom: Iéshoua‘. Il sera grand et sera appelé Bèn ‘Éliôn ¬ fils du Suprême.» (Lou.1, 30-32).

     

    Et conformément à la parole du messager : « Quand sont remplis les huit jours de la circoncision, il est appelé par son nom Iéshoua‘ comme il avait été appelé par le messager, avant que sa mère ne l’eût conçu dans son ventre. » (Lou.2, 21).

     

    Aussi, le nom Iéshoua que porte le messie se trouve-t-il être le nom même du Père Suprême*. Ce passage qui suit le prouve allégrement : « Père consacré, disait Iéshoua, garde-les EN TON NOM QUE TU M’AS DONNE, afin qu’ils soient un, comme nous. Quand j’étais avec eux, moi je les ai gardés EN TON NOM QUE TU M’AS DONNE. Je les ai sauvegardés, et pas un d’eux ne s’est perdu, sauf le fils de la perdition, pour que l’Écrit soit accompli. » (Iohn.17, 11-12).
    Nota: Le NOM de YHWH est donné dans YesHuW'aH = salut.
    Et pour être plus précis, c'est YHWH qui est le "Nom au-dessus de tout nom" (donc forcément au-dessus du nom de "Jésus" !) et qui a été donné "dans" Yéshoua.
    http://jyhamon.eklablog.com/le-nom-au-dessus-de-tous-les-autres-noms-a100180783

     * En fait, le Nom du Père Suprême est "YHWH" et celui du "Fils premier-né" est  "YHWH sauve" !... ainsi, ceux qui disent "Jésus sauve" expriment sans s'en rendre compte que "YHWH sauve sauve" ! Donc, soit ils bégaient (!), soit ils expriment n'importe quoi selon leurs neurones d'hommes-animaux dégénérés ! Quelle honte et quelle pitié !

    Pensez-vous, après toutes ces évidences, qu’on ait le droit de modifier le NOM au dessus de tout NOM ? Certainement pas ! Qui aurait donc intérêt à écarter de la grande majorité des traductions occidentales, le nom le plus important du pacte neuf, si ce n’est Rome... ou la Jérusalem Talmudiste avec son "Yeshu" ? Cela est même une évidence, Babèl s’est dépêchée, l’histoire même peut en témoigner, de tuer les Envoyés Képha, Shaoul, Iaacob afin de s’accaparer du Judaïsme messianiste en pleine extension et de l’altérer. Lui faisant perdre ses origines Juives mais surtout en y introduisant des rites, des rituels et des symboles païens.

     

    Babèl fait l’apologie de ses dieux, du culte de Rome et déifie ses empereurs. Laisser pénétrer librement en son sein le pur message de Iéshoua aurait été pour Elle, synonyme de renonciation à sa culture, à ses divinités, à sa langue, à sa civilisation matérialiste et plus loin à son hégémonie. Il n’en était pas question !

     

    Derrière la façade politique et humaine de ces faits, ce sont aussi des forces spirituelles qui s’affrontent : d’une part Elohîms, le Créateur et d’autre, des idoles, des cosmocrates au service de Satan et qui influencent le monde. Un véritable conflit opposant Elohîms dont Iéshoua est le fils, aux dieux de Rome (les suppôts de Satan) dont les différents empereurs en sont l’inexorable émanation. Il leur fallait donc envisager une solution efficace pour endiguer la déferlante vague messianique.

     

    Cela se fut lorsqu’en l’an 325 au concile œcuménique de Nicée, l’empereur Constantin décida, pour canaliser ce nouveau courant qui ébranlait son royaume, de faire une astucieuse fusion des dates, des rituels et symboles païens dans le mouvement messianique alors en pleine expansion. Il réussit ainsi à créer une religion hybride assimilable à tous ses sujets. L’église romaine procéda à sa suite, avec les traductions occidentales de la bible, surtout avec "La Vulgate" de Jérôme, à la transformation, sinon à l’hellénisation du nom hébreu Iéshoua en Ièsus (qui a donné Jésus en français) et à la subrogation d’Elohîms par DEUS (Zeus), puis à la récupération de tous les grands phénomènes spirituels de l’empire, notamment le culte d’Isis. Lequel donna peu après consistance à un culte parallèle axé sur la personne de Marie. En l'an 431, au Concile d'Éphèse, Marie fut décrétée Théotokos, mère de « Dieu ».
    Voir: http://jyhamon.eklablog.com/le-christianisme-contrefait-de-satan-a90029995

     

    Les traductions occidentales de la bible, d’une manière générale, ont jeté les bases de l’apostasie. Elles ont favorisé l’éclosion d’un mouvement parallèle au Judaïsme messianiste: le christianisme. Dans ce parallélisme, le Vatican s’est carrément substitué à Iéroushalaïms. Dans la même foulée, Elohîms a cédé sa place à Dieu, l’horreur abominable, et Iéshoua Ha Mashiah à Jésus-Christ. Peu nombreux, sont même les lecteurs avertis de la bible, qui savent que Iéshoua de Nasèrèt­ est né vers 6 avant l’ère chrétienne, donc bien avant le Jésus-Christ occidental. (Et que les "années de grâce" n'ont commencé que lorsqu'IL l'a dit... donc environ 30 ans plus tard !)

     

    Le Souffle sacré a revêtu les oripeaux du feu éternel l’Esprit Saint, le Spenta Mainyu du zoroastrisme. La palombe, dans l’épisode de l’immersion de Iéshoua, a été supplantée par la colombe, l’animal favori de Vénus. Le dîner de l’Adon est devenu eucharistie pour les uns et sainte cène pour les autres.
    Voir: http://jyhamon.eklablog.com/sainte-eucharicene-4-c18337310
    Les consacrés sont devenus les saints et la Communauté des Consacrés, l’épouse du Messie est devenue Eglise ; mot dont la signification est étroitement associée à un édifice. L’Annonce a donc été proprement et fondamentalement dénaturée, disons même parfaitement hellénisée.

     

    Sûr donc de l’excellent travail de manipulation opéré au niveau des Ecrits, l’occident a entrepris d’imposer sa nouvelle religion œcuménique au monde entier. Plus tard elle décida de divulguer, voire même de distribuer gratuitement des bibles corrompues pour égarer la masse très loin de la vérité.

     

    L’Eglise romaine s’est littéralement accaparée de l’Annonce du royaume des ciels comme si elle en était le dépositaire, mieux, le propriétaire. Ce discours  du pape Jean XXIII prononcé lors du concile du Vatican II en 1963, le prouve aisément : « L’Eglise ne peut oublier qu’elle a reçu la révélation de l’Ancien Testament par ce peuple avec lequel Dieu, dans son ineffable miséricorde, a daigné conclure l’antique Alliance, et qu’elle se nourrit de la racine de l’olivier franc sur lequel ont été greffés les rameaux de l’olivier sauvage que sont les Gentils. L’Eglise croit en effet que le Christ, notre Paix, a réconcilié les Juifs et les Gentils par sa croix, et en Lui-même des deux a fait un seul.[…] Elle se rappelle aussi que du peuple juif sont nés les apôtres, fondements et colonnes de l’Eglise, ainsi que le plus grand nombre des premiers disciples qui annoncèrent l’Evangile du Christ. […] Bien que les chefs des Juifs, avec leurs partisans, aient poussé à la mort du Christ, cependant ce qui a été commis durant sa Passion ne peut être imputé ni indistinctement à tous les Juifs vivant alors ni aux Juifs de notre temps. S’il est vrai que l’Eglise est le nouveau peuple de Dieu, les Juifs ne doivent pas pour autant être présenté comme réprouvés par Dieu ni maudits, comme si cela découlait de la Sainte Ecriture.».

     

    Nulle part il est écrit dans la bible qu’Israël devrait être remplacé par l’Eglise, l’infâme copie gréco-romaine de la communauté messianique. Les charismes et l’appel d’Elohîms étant sans regrets, Israël (tout Israël) demeure en pérennité le peuple élu (Rom.11, 29). Et ce n’est pas Iéshoua le messie qui, dans cet extrait qui suit, nous contredira : « Vous, vous prosternez devant ce que vous ne connaissez pas. Nous, nous prosternons devant ce que nous connaissons, parce que le salut vient des Iéhoudîm. » (Iohn.4, 22).
    Voir: http://jyhamon.eklablog.com/le-salut-vient-des-juifs-jean-4-22-et-donc-pas-des-religions-chretienn-a47157793

     

    Shaoul, dans sa première lettre aux Corinthiens, tire au clair toutes les folles allusions faites à ce sujet : « Est-ce de vous (les nations) que la parole d’Elohîms est venue, ou n’est-elle parvenue qu’à vous seuls ? » (1 Cor.14, 36). Les Pères de l’Eglise à savoir Eusèbe, évêque de Césarée (IIIièmes), Erasme l’agnostique et Origène, théologien d’Alexandrie (IIIième s.), qui déclara que les "chrétiens" remplacent le peuple Juif comme peuple élu, étaient tous des antisémites patentés. Ces derniers ont subséquemment été, les acteurs majeurs de l’hellénisation de la doctrine sacrée.

     

    Elohîms n’a donc pas déchu, et encore moins rejeté son peuple qu’Il a chéri et connu d’avance. Tout dans la Bible, de l’Entête au Découvrement, tourne autour de la MAISON c'Israël et de ses fils. Le messie Iéshoua n’a d’ailleurs été envoyé qu’aux brebis égarées d’Israël : « Je n’ai été envoyé qu’aux ovins perdus de la MAISON d’Israël*, avait-il dit à la femme Kenaanit. » (Mat.15, 24). Mais pourquoi a-t-il été envoyé qu’à Israël (mais voir ci-dessous) et pas aux nations, nous dira-t-on ? Parce que c’est aux Benéi Israël qu’appartiennent la filiation et la gloire, les pactes et le don de la Tora, l’adoration et les promesses. À eux sont les pères, et d’eux le messie selon la chair. (Rom.9, 4-5).
    * Mais la "Maison d'Israël" n'est pas la "Maison de Juda" !
    Voir: http://jyhamon.eklablog.com/je-n-ai-ete-envoye-qu-aux-brebis-perdues-de-la-maison-d-israel-mat-15--a47473250

     

    L’avènement du messie en Israël, précisément à Iehouda longtemps. annoncé par les Inspirés Daniel, Irmeyahou, Yeshayahou, Zeckaryah, Mikha, Obadyah et Hoshéa, etc. devait couronner à la fois l’œuvre de la Tora et l’espérance même du Judaïsme qui prédisait que le Mashiah viendrait rassembler tous les fils dispersés d’Israël, redresser la tente de David et établir son règne sans fin sur toute la terre.

     

    L’Annonce fut de la sorte, d’après un planning très précis, d’abord proclamée à Iéroushalaïms et à Shomrôn puis aux nations à la faveur de l’endurcissement d’une partie d’Israël, toujours par le truchement de dignes fils d’Israël, les colonnes et les fondements de la Communauté Messianique à savoir, Kèpha, Iohanan, Iaacob, Shaoul, afin d’inciter Israël Juda à la jalousie et à les faire revenir à Adonaï Elohîms, l’Eloha de leurs pères. Par l’adhérence à Iéshoua le messie, les nations prennent de ce fait part aux promesses faites à Israël, le peuple élu d’Elohîms, selon qu’il est écrit :

     

    « Vous étiez alors sans messie, étrangers à la cité d’Israël, en dehors des pactes de la promesse, sans espoir et sans Elohîms dans l’univers. Mais maintenant, dans le messie Iéshoua‘, vous qui étiez loin, vous êtes devenus proches, dans le sang du messie. Oui, il est notre paix, celui qui des deux a fait un, ayant aboli le mur mitoyen de la séparation, la haine, dans sa propre chair; annulant la Tora des misvot en ses ordonnances, pour que des deux soit créé en lui un seul homme nouveau par lui artisan de paix, et qu’il réconcilie les deux en un seul corps pour Elohîms, à travers la croix, tuant la haine en lui, et venant annoncer la paix, à vous, les éloignés, et la paix aux proches, parce que par lui nous avons tous deux accès à un seul souffle, vers le Père. »(Eph.2, 12-18).
    Voir: http://jyhamon.eklablog.com/qu-est-ce-que-le-mur-de-separation-eph-2-14-a59398237

     

    Lorsque nous parlons d’Israël, nous ne parlons pas de l’état sioniste Israël, cette démocratie parlementaire à l’européenne articulée autour de la Knesset – et non plus autour de la Tora, la Révélation d’Elohîms et des Inspirés! - mais de la nation sacrée Israël (le "goy qadosh", nation sainte, Exode 9:6), le reste qu’Elohîms, dans son chérissement, s’est gardé. L’état sioniste actuel d’Israël, terre de tous les fantasmes religieux, n’en demeure pas moins différent de l’Israël biblique. C’est un état aujourd’hui laïc et hautement occidentalisé.
    Voir: http://jyhamon.eklablog.com/l-etat-d-israel-est-il-l-israel-de-elohim-1ere-partie-nouvelle-version-a117302204
    http://jyhamon.eklablog.com/l-etat-d-israel-est-il-l-israel-de-elohim-2eme-partie-version-finale-a118606620

     

    Mais revenons au nom "Jésus-Christ". Que signifie-t-il en réalité ? Le mot "CHRIST" est une simple décalque et non une traduction du grec CHRISTOS qui provient du verbe grec chriô, qui signifie dans la traduction grecque de la Bible hébraïque, et déjà dans l'Odyssée, Oindre. Le nom JESUS vient du grec YESUS. L’origine de la transcription grecque « Yèsus », lire Ièsous, provient du Talmud.

     

    Le Talmud, ensemble des commentaires de la Tora transmis oralement depuis des siècles et répétés de mémoire (Mishna), est l’œuvre de savants, lettrés et érudits rabbins. En effet, le Talmud est par rapport à la Tora de Moshè, une sorte de jurisprudence. Sa rédaction définitive a été achevée au 5ème siècle. Dans le Talmud, l’expression "YESHU HA NOTZRI", est utilisée pour désigner l’Adon Iéshoua.

     

              Les rédacteurs du Talmud ont volontairement omis la lettre AYIN (qui induit le changement du U en UA) dans le nom Iéshoua, afin de biaiser la signification du nom de celui qu’ils n’ont jamais considéré comme le Mashiah. Pas étonnant de leur part ! On se souvient que lorsque Iéshoua, alors injustement accusé, comparaissait devant le Procurateur Pilatus, le Sanhédrin avec à leur tête le desservant en chef, Iosseph Caïapha, poussa le peuple en masse à choisir le meurtrier Bar-Abba, en araméen « fils du Père », à Iéshoua Ben Elohîms, en hébreu « fils du Père ». (Mc.15, 3-15). Bref.

     

             Yeshu a ainsi donné en grec et en latin Yèsus, puis Jésus en français. Or Yeshu, forme acronymique de YimmachShemo Vezikhro, signifie en hébreu « Que son nom et sa mémoire soit effacé ! » Avec Jésus, on est donc loin de Iéshoua « Yah sauve » !

     

             Si vous êtes tombés sous le subterfuge du nom de Jésus-Christ, comme nous aussi l’avons été dans un passé encore très proche, il n’est pas tard pour bien faire : Faites retour et revenez à ce qui est juste et véridique : Iéshoua, le messie.

            Mais d’aucuns nous objecteront : nous avons vu des miracles et des prodiges accomplis en ce nom ? Comment peut-il être inexact ? Que ce soit Iéshoua ou Jésus, le nom du Tout-Puissant n’est-il pas glorifié ? Et c’est là que plusieurs se gourent et tombent les yeux ouverts dans les nasses de l’ennemi. Des miracles ne sont-ils pas aussi faits dans le nom de la Vierge Marie ? De Bouddha ? De Paul Mousso ?... et de n'importe quel sorcier, chaman, gourou, hypnotiseur... !!!

     

             Aussi voudrais-je savoir une chose : Quel est, selon vous, le nom qu’ont fait connaître les envoyés Kèpha, Iohanan, Shaoul, eux-mêmes fils d’Israël, à l’univers et par lequel ils ont aussi réalisé immersions et miracles ? Est-ce Jésus ou Iéshoua ?  

     

             Il n’y a sous les ciels aucun autre nom qui ait été donné aux hommes de toutes les nations par lequel nous devions être sauvés : Iéshoua, le messie, selon qu’il est écrit : « Le salut ne vient pas d’un autre. Non, il n’a pas été donné aux hommes un autre nom sous les ciels par lesquelsil nous faut être sauvés. » (Ges.4, 12).
    * C'est à dire "en marchant comme IL (Yéshoua) a marché Lui-même" (1 Jean 2:6) et donc en "crucifiant la chair avec ses désirs" (Gal 5:24) !!

     

             Un seul et unique nom pour Israël et pour les nations, pas plusieurs. En Droit, le nom est une appellation propre, un attribut incessible, imprescriptible et protégé de la personnalité qu’il désigne et identifie. Ce nom unique et véritable n’est donc pas soumis à modification. Et encore moins à assimilation. Soyez vigilants, bien-aimés !
    Voir aussi: http://jyhamon.eklablog.com/la-plus-grande-usurpation-d-identite-de-l-humanite-a49765596

    « De faux messies et de faux inspirés se réveilleront. Ils donneront de grands signes et prodiges, afin d’égarer si possible même, les élus. » (Mat.24, 24).

     

             Prenez donc garde à ne pas vous laissez emporter par la dynamique de l’apostasie qui, depuis les premiers siècles de notre ère, agit en puissance : « Petits enfants, pouvait dire Iohanan en l’an 97 de notre ère, c'est la dernière heure ; vous l’avez entendu : l'anti-messie vient. Déjà, même, de nombreux anti-messies ont surgi. Nous pénétrons donc que c’est la dernière heure. » (1Iohn.2, 18).

     

             Cet extrait de la seconde lettre de Shaoul aux Thessaloniciens saura davantage vous éclairer sur la nature des miracles et des prodiges réalisés pendant l’apostasie :

    « L'apparition de cet impie aura lieu avec la force de Satan, avec toute puissance, avec des prodiges et de faux miracles,

    Et avec toutes les séductions de l'iniquité parmi ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont point reçu l'amour de la vérité, pour être sauvés.

    C'est pourquoi Elohîms leur enverra un souffle efficace d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge; Afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir dans l'injustice, soient condamnés» (2Th.2, 9-12). 

     

    Prenez garde, mes chers, à ne pas mélanger le blé à l’ivraie, Babèl à Beit-El, Rome à Israël au risque de sombrer dans la confusion. Car c’est exclusivement dans le nom Iéshoua qui signifie « Yah sauve », que nous pénétrons les mystères d’Elohîms.

     

    « Iéshoua‘ dit alors aux Iehoudîm qui adhèrent à lui: Si vous, vous demeurez dans ma parole, la mienne, vous êtes en vérité mes adeptes. Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. » (Iohn.8, 31-32).

     
    Notes:

    Kèpha : Céphas, Pierre

    Shaoul : Saul deTarse, Paul

    Iaacob : ici Jacques

    Nasèrèt : Nazareth

    Irmeyahou : hébreu « Yahou élèvera »,  Jérémie

    Zeckaryah : hébreu « Yah mémorise », Zacharie

    Mikha : hébreu diminutif de Mickayah, « qui est comme Yah »,  Michée

    Obadyah : hébreu « serviteur de Yah », Abdias

    Hoshéa : hébreu « Yah sauve », Osée

    Shomrôn : Samarie

    Sanhédrin 107b et Sotah 47a ou dans Sanhédrin 43a, Sanhédrin 103a, Berachot 17b et Avodah Zarah 16b-17a dans les manuscrits du Talmud Babylonien de Munich (1342 CE) et de Paris

    Pilatus : Pilate

    Iosseph Caïapha : Joseph Caïphe

    Bar-Abba: Barrabas




    JYH
    10/06/2013
    Via http://messianisme.over-blog.com/article-31012766-6.html#anchorComment

    (Copie autorisée et même souhaitable, à condition d'en redonner le texte intégral et les sources)

     Nota: On ne devrait pas écrire "Elohîms" mais simplement "Elohim" puisque le "im" est déjà un "pluriel" (non arithmétique et non grammatical mais de Toute Puissance).




    « L'intelligence selon ElohimQuand YHWH (l'Eternel) parle, ce sont des paroles de vérité qui sont dites: étude sur le "Germe" »
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