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    Cet article n'est pas de moi mais je le reproduis volontiers (malgré son ton) puisque j'ai les mêmes sentiments et surtout les preuves (écrites et assumées) des assertions qui y sont mentionnées.

    Le but n'est évidemment pas d'ajouter de la diffamation à de la calomnie, mais d'avertir et de prévenir contre les dangers subtils de "l'évangélisme", en rappelant que les menteurs n'entreront pas dans le royaume et que "leur part est dans l'étang de feu" (Apoc 21:8), or, "répéter un mensonge", c'est "mentir" (et je me garde bien de le faire ici).

    JYH

    http://rustyjames.canalblog.com/archives/2013/03/08/26594066.html#utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=rustyjames

    La recherche des dons spirituels est une obsession parmi les membres des sectes dites Évangéliques.

     

     

    baptiste secte evangelique

    Le Cobra, symbole parfait des Évangéliques modernes (et désolé pour ceux qui se laissent photographier par des insensés... )

     

    La recherche des dons spirituels est une obsession parmi les membres des sectes dites Évangéliques. Nous entendons par Évangéliques, les Baptistes, les Pentecôtistes, les Darbystes, les Adventistes, et toutes autres bestioles de la sorte nuisibles au Royaume de Dieu (Elohim). On prétend «qu'il est impératif que le croyant découvre et reconnaisse son don» et l'emphase est généralement placé sur le don de parler en langues. On raisonne ainsi faussement «Si le chrétien ne connaît pas son don, il ne pourra jamais être sûr qu’il serve toujours le Seigneur aussi bien que possible». Or il semblerait de toutes évidences que cette recherche est complètement inutile, car tous les Évangéliques possèdent déjà le don par excellence par lequel ils servent leur maître et qui les identifie pour ce qu'ils sont, à savoir celui du Commérage Évangélique qui se nomme aussi «le parler en langues de vipères».

    Ce genre d'extatiques ou de têtes écervelées se donne à cœur de joie de s'attaquer à la réputation personnelle de ceux qui s'opposent à leurs aberrations. Leurs attaques sont généralement personnelles plutôt que collective, ils s'en prennent non à un système mais à l'individuel, car ils savent très bien que leurs langues fourchues peut faire plus de ravages à ce niveau. Détruire l'honneur d'autrui est très important pour eux, autrement ils ne pourraient se donner aucune crédibilité car leur gloire consiste à s'élever en écrasant les autres. Ils ont la langue bien pendue lorsqu'il s'agit d'offenser ceux qui pensent autrement qu'eux, mais ils sont offensés lorsqu'ils reçoivent du pareil en retour, et comme des enfants gâtés, ils courent auprès de leurs dirigeants pour se plaindre du méchant qui a osé se défendre contre leurs allégations infernales.

     

    Dans les Évangiles nous voyons que le Seigneur Jésus-Christ (Yeshoua Ha Mashiah) est souvent  la proie de la calomnie. Or la calomnie consiste à dire quelque chose de faux avec l’intention de nuire à la réputation d’un autre, c'est le domaine des demi-vérités où on exagère et tord le sens des paroles d'une autre personne. Les Pharisiens ont permis au péché de calomnie de gagner subtilement une place importante dans leurs vies en essayant d’ébranler la confiance et la fidélité des disciples de Jésus (Yeshoua). Ils ont justifié leur péché et ils ont négligé l’honneur qu’ils devaient à la réputation et à la dignité personnelle de leur adversaire.

    Ayant souffert la calomnie et du faux témoignage lui-même, Christ sait consoler ceux qui en souffrent. Le Seigneur Jésus-Christ (Yeshoua Ha Mashiah) pouvait se défendre de ces accusations, mais ce n’est pas le cas de tout le monde. Le Commérage Évangélique est une offense à la relation fondamentale de l’homme et de la Parole de Dieu (Elohim). En blessant la relation de l’homme à la vérité et au prochain, le mensonge offense la relation fondatrice de l’homme à la parole du Seigneur. La gravité du mensonge se mesure selon la nature de la vérité qu’il déforme, selon les circonstances, les intentions de celui qui le commet, les préjudices subis par ceux qui en sont victimes.

    Si le mensonge, en soi, semble de nos jours constituer qu’un péché de moindre importance, il est néanmoins mortel quand il lèse gravement les vertus de justice et de charité. Le mensonge (parce qu’il est une violation de la vertu de véracité), est une véritable violence faite à autrui, et la violence appelle à la violence, celui qui donne des coups en recevra en retour, telle est la loi de la cause et de l'effet car chaque action a une réaction inverse proportionnée.

     

    Le parler en langue de vipères est surtout pratiqué par les Évangéliques dans des petits groupes ou des cliques et plus particulièrement sur l'Internet, comme nous trouvons souvent sur des Blogues et des Forums. Évolution technologique oblige, le Commérage Évangélique se retrouve dans les différents forums de discussion où nous les voyons déferler leur hypocrisie contre une personne qui n'est même pas présente. Même si cette dernière s'y trouverait, elle ne peut se défendre car ils l'attaquent comme une meute de loups voraces assoiffés de sang, et cela au nom d'un amour et d'une vérité illusoire qui sont des figements de leurs imaginations et de leurs endoctrinements.

    Tentez l'expérience par vous-même en vous opposant à un de leurs points de vue, et vous réaliserez rapidement que nous n'exagérons pas. Le plus bel exemple que vous trouverez est sur le Blogue excrémentiel de la sorcière de la Vigerie, Michelle d'Astier (Ceci est en fait un "nom d'artiste" à but lucratif, hérité d'un ancien mari décédé. Cette personne est remariée et se nomme "Madame Germain"). En fait, nous les voyons souvent s'attaquer entre eux-mêmes, même qu'il est commun parmi eux de déchirer en pièces le plus faible de leur meute. Ces gens n'ont aucun respect pour l'individuel, ils se réclament le monopole de la vérité lorsqu'ils en ont aucune notion, leur amour n'est que prostitution et leur vérité n'est que duplicité. Ce qui importe pour eux est de toujours avoir raison et malheur à celui ou celle qui leur dirait le contraire, ils sont complètement bornés et spirituellement constipés.

     

    Commérer veut dire aussi «hypocrisie», car nous critiquons les personnes de manière à ce qu'elle ne s'en aperçoivent pas. Malheureusement, tôt ou tard, les personnes critiquées l'apprennent ou le sentent et ceci peut avoir des effets négatifs sur leur comportement et des répercussions qui ne sont pas trop plaisantes envers le ou les responsables. Tous ne sont pas des andouilles pour se laissez marcher sur les pieds et plusieurs l'apprennent à leur dépend. Une personne frustrée est sans pitié. Celui ou celle qui est la cible du commérage peut facilement aller au-delà des limites des bonnes mœurs, et chercher satisfaction d'une façon à faire regretter l'écume du poison verbal qu'il a reçu de la part de ceux qui sont assez insensé pour pratiquer une telle stupidité.

    On récolte ce qu'on sème, dit le Seigneur, et le diffamateur peut très bien recevoir au centuple de ce qu'il a semé. Les Évangéliques ne sont pas à l'épreuve de récolter de leur folie, surtout dans un monde technologique où personne ne peut cacher son identité. Ces forbans ont tendances à sauter trop vite à des conclusions sans avoir vraiment réfléchi et posent des accusations sans preuves qu'ils peuvent regretter fortement en ce monde ou en l'autre.

     

    Les Évangéliques devraient tirer une leçon du fait suivant. Les commérages ont toujours fait partie du quotidien des villes et surtout des villages. Mais à Icononzo, au sud-ouest de Bogotá, lancer une rumeur est désormais passible d’une peine de quatre ans de prison ou d’une amende pouvant atteindre 118 000 €. Cette histoire pourrait faire sourire si elle avait lieu ailleurs qu’en Colombie. Dans ce pays déchiré par la guérilla et le trafic de drogue, le lancement d’une rumeur peut avoir des conséquences désastreuses. Un homme a d’ailleurs été tué dans cette région car la rumeur disait qu’il appartenait à un groupe paramilitaire. Les langues de vipère d’Icononzo devront maintenant réfléchir deux fois avant de raconter des salades.

     

    Chose certaine, si les gens parlent d'une autre derrière son dos c'est que cette personne est importante, elle dérange leur train de vie, autrement ils ne feraient aucun cancan contre elle. Jean de LA BRUYÈRE (nrf Gallimard 1951) avait déclaré: «L'on me dit tant de mal de cet homme, et j'y en vois si peu, que je commence à soupçonner qu'il n'ait un mérite importun qui éteigne celui des autres.» Là est la raison principale pour laquelle les Évangéliques diffament une personne, ils craignent la vérité et ne veulent aucunement être exposé comme les faux chrétiens qu'ils sont. La calomnie est une forme de dénigrement. Elle consiste à porter délibérément des accusations mensongères contre quelqu'un pour jeter sur lui le discrédit, pour porter atteinte à sa réputation. Comme vous le savez très bien, le commérage est très facile à partir, mais une fois qu'il est fait, nous ne pouvons jamais réparer les torts énormes qu'il a causé, une fois le feu mit à la brousse il n'est pas si facile de l'arrêter et il laisse derrière lui que des ruines d'une vie déjà florissante. La Parole de Dieu (Elohim) nous dit: «La langue de même est un petit membre, et elle se vante de grandes choses. Voici un petit feu; combien de bois ne peut-il pas allumer? La langue aussiest un feu, un monde d'iniquité. Ainsi la langue est placée parmi nos membres, souillant tout le corps, et enflammant le cours de la vie, enflammée elle-même par l’angoisse du mépris (Jac. 3:5,6). Après avoir offenser une personne en noircissant son caractère, certains éprouvent du regret et retirent les paroles meurtrières qu'ils ont prononcées, mais il est trop tard. Jules Renard (1864-1910) avait écrit: «Il y a des gens qui retirent volontiers ce qu'ils ont dit, comme on retire une épée du ventre de son adversaire.»

    Mais ne désespérons pas, il existe une arme puissante contre la calomnie et ceux qui savent la manier en sortent toujours vainqueurs. J. Crétineau-Joly (1803-1874) avait écrit: «Je connais une arme plus terrible et plus meurtrière que la calomnie, c'est la vérité.» Or la Parole de Dieu (Elohim) est la vérité, elle est comparée à une épée, et une épée n'est pas faite pour flatter la conscience des gens mais pour trancher la tête des réprouvés afin d'exposer leur duplicité. L'épée de la justice détient son lustre du sang de l'ennemi qui ruisselle sur sa lame, et c'est sur le champs de bataille contre le Commérage Évangélique qu'elle fait ses preuves. La langue fourchue d'un ennemi qui n'a plus de tête est inactive (figurativement parlant), tout ce qui sort de sa bouche est le sang de son existence ténébreuse qui s'évanouit devant la lumière de la vérité. Dans un commentaire hébraïque sur  le roi lépreux Naâmane, les paroles de l'Éternel sont ainsi cités: «Quiconque, dans l'ombre, calomnie son prochain, je l'anéantirai. Des yeux hautains et un cœur enflé d'orgueil, je ne puis les supporter».

     

    Mais il y a aussi un autre aspect du Commérage Évangélique et de la calomnie qu'il faut toucher. Bien que la contradiction, l’opposition, voire la persécution soient inhérentes au véritable christianisme, la plupart des enfants de Dieu (Elohim) ne cessent de s’étonner face aux attaques orchestrées contre les œuvres de Dieu-Elohim qui viennent généralement de ceux qui se disent chrétiens mais qui ne le sont pas, et contre ceux qui en font partie. Pourtant, en général, ces enfants de Dieu-Elohim connaissent les paroles du Seigneur Jésus-Christ (Yeshoua Ha Mashiah), Lui-même signe de contradiction par excellence: Souvenez-vous de la parole que Je vous ai dite, dit Jésus (Yeshoua). Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils M’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi. Les calomnies et les persécutions sont des grâces dont Dieu favorise ceux qui Le servent fidèlement, tellement que ceux qui en sont épargnés doivent se questionner s'ils sont vraiment dans la foi.

    Dieu-Elohim n’est pas l’auteur des calomnies, ni des persécutions, mais il est certain qu’elles n’arrivent jamais sans Sa permission, elles sont des épreuves et des exercices de patience et de bienveillance, selon l’œuvre propre de Dieu, qui veut, par ces contrariétés, détacher Ses serviteurs de tout ce qui peut les empêcher d’aller à Lui en toute confiance et pour toutes choses, et elles opèrent toujours d'après Son dessein éternel d'élection pour la gloire de son nom. Les épreuves font des bons soldats, et un bon soldat sais manier l'Épée.

     

    JYH
    D'après: rusty james -  
    (Copie autorisée et même souhaitable, à condition d'en redonner le texte intégral et les sources)
     

    Les sectes "Evangéliques" et l'obsession des "dons spirituels".

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    • Grands leaders et grands mouvements

     

    Par Milt Rodriguez

     

     

    Grands leaders et grands mouvements...

     

    Jean 1 :19-29

    19 ¶ Voici le témoignage de Jean, lorsque les Juifs envoyèrent de Jérusalem des sacrificateurs et des Lévites, pour lui demander : Toi, qui es-tu ?

    20 Il déclara, et ne le nia point, il déclara qu’il n’était pas le Christ.

    21 Et ils lui demandèrent : Quoi donc ? es-tu Elie ? Et il dit : Je ne le suis point. Es-tu le prophète ? Et il répondit : Non.

    22 Ils lui dirent alors : Qui es-tu ? afin que nous donnions une réponse à ceux qui nous ont envoyés. Que dis-tu de toi-même ?

    23 Moi, dit-il, je suis la voix de celui qui crie dans le désert : Aplanissez le chemin du Seigneur, comme a dit Esaïe, le prophète.

    24 Ceux qui avaient été envoyés étaient des pharisiens.

    25 Ils lui firent encore cette question : Pourquoi donc baptises-tu, si tu n’es pas le Christ, ni Elie, ni le prophète ?

    26 Jean leur répondit : Moi, je baptise d’eau, mais au milieu de vous il y a quelqu’un que vous ne connaissez pas,

    27 (1-26) qui vient après moi ; (1-27) je ne suis pas digne de délier la courroie de ses souliers.

    28 Ces choses se passèrent à Béthanie, au delà du Jourdain, où Jean baptisait.

    29 ¶ Le lendemain, il vit Jésus (Yeshoua) venant à lui, et il dit : Voici l’Agneau de D.ieu, qui ôte le péché du monde.

     

    Je suis vraiment fasciné par le contraste entre Jean-Baptiste et les chefs religieux. Quel saisissant contraste entre la religion et la vie!

     

    La religion est toujours à la recherche de grands leaders

     

    Le système religieux est toujours à la recherche de grands leaders. Ces personnes voulaient connaitre les qualifications de Jean. Elles voulaient connaître ses références, son appel et ses dons. Elles étaient envoyées par d’autres « leaders » qui étaient très préoccupés par ce qui se passait là-bas dans le Jourdain. Qui est cet homme qui baptise tous ces gens là-bas? Est-ce un nouveau mouvement? Pourquoi n'avons-nous pas été mis au courant? Est-ce quelque chose dont nous devrions nous préoccuper? Et plus important encore, est-ce quelque chose qui peut menacer nos positions?

     

    Ces pharisiens voulaient connaître chaque nouvelle chose qui se passait. Pourquoi? Afin de pouvoir la contrôler et l'utiliser à leurs propres fins. Et s’ils ne pouvaient pas la contrôler, ils voulaient la détruire. Mais j'aime la réponse que Jean leur donne : « Je suis juste une voix qui crie dans le désert! »

     

    Ils ont continué à cuisiner ce pauvre Jean et tout ce qu'il pouvait leur dire était: «Non je ne suis pas, non je ne suis pas » Fondamentalement, Jean leur a dit qu'il « n'était pas ». Il était une personne. Il était une anti-célébrité. Il était juste une voix! Une voix montrant quelqu'un d'autre. Une voix montrant une autre personne. Oh, pensaient ils, peut-être que cette autre personne est le grand leader que nous recherchons. Peut-être qu'IL a la qualification. Peut-être qu'IL a le titre, la vocation et les dons.

     

     Jean en annonce un autre

     

    « Voici l'agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. »

     

    Il annonce un petit agneau!

     

    Une des plus petites, plus innocentes, plus insignifiantes et plus vulnérables créatures de la planète! Ils ont dû penser, mais allons donc, un agneau, tu plaisantes? Pas de grand leader là-bas. Aucun ministère ou mouvement important ne se passe là-bas.

     

    L’agneau sur une croix

     

    « Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu. » 1 Co 1:18

     

    La religion est toujours à la recherche de puissance dans les dons, d’appels, de grands prédicateurs et de grands mouvements.

     

    D.ieu est toujours à la recherche du petit: l'Agneau ! Il est toujours à la recherche du brisement, qui est la nature de l'Agneau. Il est à la recherche du petit Agneau en vous. Il est toujours à la recherche de la volonté de déposer sa propre vie.

     

    Sa puissance se trouve dans la Croix d’un Agneau.

     

    Grands leaders et grands mouvements...

     

    JYH
    8/03/2013
    (Copie autorisée et même souhaitable, à condition d'en redonner le texte intégral et les sources)

     

     

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